Dernières nouvelles de l'homme

Samedi 24 juin 

Départ en train pour Thonon puis en car pour Vinzier. Montée sur le GR5 pour une difficile redescente sur Bernex. AirBnB - Pizza

Dimanche 25 

Remontée sur le GR5. Longue étape jusqu'aux chalet de Bise. Pleine forme pour Clem et plus difficile pour moi. Rencontre d'un américain typique mais randonneur atypique.

Lundi 26 

Petite bouteille de lait tout frais pour Clem. Montée au pas de la Bosse et descente sur La Chapelle. Catherine nous rejoint et picnic à Chatel.

Vendredi 30

Départ pour Poitiers. Arrêt à Paray-le-Monial

Samedi 1 juillet

Camping du lac de Saint Cyr 

Dimanche 2

Château de Dissay

Lundi 3 / 4

Camping du lac - Parcours - Visite de Poitiers

Mercredi 5 

Futuroscope - La plupart des attractions - Clément est content.

Jeudi 6

Camping La Calanque St Fargeau - Paddle pour Clem

Vendredi 7 

Visite du château de Guedelon- Nuit à Lapalisse

Samedi 8 

Dépose à Anse - Repas et retour à domicile

  

C'est pas tous les jours que se constitue une nouvelle congrégation de bonnes soeurs. Une des dernieres en date, sans doute la derniere s'appelle :

"Les soeurs de la perpétuelle indulgence"

Fondé à San Francisco en 1979, ce mouvement a essaimé partout dans le monde tout en restant “underground”. Ces sœurs peu orthodoxes jouissent d’une vraie reconnaissance : le 16 juin, l’équipe de baseball des Dodgers de Los Angeles va leur décerner le prix d’héroïnes de la communauté, nous dit le Los Angeles Times

Quand on demande aux Sœurs de la perpétuelle indulgence de Los Angeles ce qui les a poussées à devenir nonnes, la réponse est quasi unanime : elles ont entendu l’appel. C’est en poussant la porte d’un bar gay, où s’étaient réunies plusieurs membres de l’ordre, que Sister Tootie Toot [sœur Pouette-Pouette] s’est sentie écrasée par le poids de la vocation.

Sister Unity [sœur Harmonie], elle, a ressenti un étrange picotement, à la fois brûlant, glaçant et électrisant, en croisant par hasard des sœurs de l’ordre originel en train de bénir la foule, lors d’une Marche des fiertés, à San Francisco.

Quant à Sister Candy Cide of the Immaculate Misconception [sœur Candy Dose de l’Immaculée Confusion], elle a été frappée de plein fouet par le sentiment de puissance qui émanait d’un groupe de drag-nonnes.

Oui, les soeurs sont en fait des drag-nonnes.

Les sœurs se sont donné pour mission de “promouvoir la joie […] et de permettre l’expression des individus en dehors de toute honte” mais, depuis la création de leur mouvement, elles sont régulièrement qualifiées de diaboliques et d’anticatholiques, et sont accusées par leurs détracteurs de tourner les véritables religieuses en ridicule.

Elles ne voient toutefois pas les choses ainsi.

“On ne se moque de personne, assure Sister Harlot D Lite [sœur Marie-couche-toi-là]. Nous apprécions les religieuses, et nous faisons simplement les choses à notre manière, pour notre communauté.”

Toutes les sœurs sont bénévoles, et l’argent qu’elles récoltent grâce aux dons, à leurs apparitions publiques et aux événements qu’elles organisent est intégralement reversé à des organisations caritatives.Elles viennent aussi directement en aide aux personnes en difficulté. Ces “missions” en tête-à-tête sont très fréquentes. Un jour, Sister Mariposa Patriota [sœur Papillon patriote], aujourd’hui membre honoraire de l’ordre, a rencontré un jeune homme en pleurs dans une rue de West Hollywood [à Los Angeles]. Par-dessus le vacarme de la musique, il lui a expliqué qu’il venait de faire son coming out et que ses parents l’avaient mal pris. La nonne l’a rassuré, lui a promis que tout irait bien et que, même si le moment était douloureux, toute une communauté de plusieurs milliers de personnes était prête à le soutenir, à tisser des liens d’amitié avec lui et à devenir sa famille. La suite ici sur Courrier International.

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Il me semble que ces sœurs devraient faire partie du monde Pastafariste car elles partagent les mêmes valeurs de tolérance et de perpétuelle indulgence.

Pour continuer les premiers mercredis du mois de la quinquaille nous sommes monter au chalet du Mégevand accueillis par Nanou. Un peu de marche pour les plus courageux. La bande côté pile :

 

Côté face :

Une vraie Raclette

et autres délicatessen préparées par Raymonde, Nanou, Hélène, Catherine...

Petite rando pour les marcheurs et rencontre d'une bonne quarantaine de bouquetins qui perdent leur peau hivernale

 

Que vaut le veau ?

Si c’est un gros veau (du gros de Vaud ou d’ailleurs) et qu’il est en or, le veau vaut très cher.

Moïse avait piqué un colère noire en voyant ses compatriotes adoré le veau d’or. Il voulait qu’on adore Yahvé et c'est tout !

Yahvé est l’ancêtre de tous ces personnages imaginaires appelés Dieu, encore qu’avant, il y avait eu Kronos, le temps et Zeus la foudre, et encore plus avant il y avait eu Ouranos et même Zoroastre. Grâce à la science, on sait maintenant que le seul vrai dieu est le MSV, le Monstre en Spaghettis Volant.

Ne sacrifions plus au veau d’or mais aux pâtes que l’on peut accompagner de boulettes de bœuf ou de veau gras. Il est bon de tuer le veau gras pour faire des polpettes pour la fête du MSV qui vous le rendra au centuple. Ramen.

Donc le veau est le petit de la vache mais PAS QUE. Si c’est le petit de la vache on le mange avant huit mois ce qui est le comble de la barbarie pour Aymeric Caron et tous les végans et un plaisir de gastronomes pour les autres.

Mais le veau est aussi une sorte de requin, le requin taupe, qui a pourtant une vue très correcte, on l’appelle le veau de mer, délicieux en tranche à cuisiner comme les tranches de thon.

Il existe un autre veau marin Le phoque veau-marin, Phoca vitulina, une espèce plutôt côtière et vivant exclusivement dans les eaux froides et tempérées. Comme la vache celui-ci est un mammifère il vêle, le requin taupe non. Le veau se dit calf en anglais et vitello en italien comme le phoca.

La vache ainsi que le veau-marin, le phoca, vêlent pour donner un veau, normal. Mais, attention, les glaciers aussi vêlent. Leur veau est un iceberg plus ou moins gros. Non ce n’est pas une plaisanterie.     

C'est même super angoissant s'il s'agit de Thwaites

Il fallait une fois aller aux Grandes Médiévales d'Andilly. On y est donc allé avec Maxence et Clément. 

Très impressionnante parade le matin.

Parade qui se termine dans un amphi trop petit pour accommoder une pareille foule. Il faut donc se pousser. On voit donc la parade qui rentre puis des joutes.
Malheureusement la mise en scène n'est pas à la hauteur des prestations équestres qui elles sont très élaborées et spectaculaires. On pense au Puy du Fou et la concurrence est rude. Au Puy, ils ont l'avantage de tourner beaucoup plus de jours. Ici c'est 6 jours ce qui complique un peu.

Il faudrait prendre un bon scénariste pour raconter cette histoire qui malheureusement n'est pas au niveau. Cela fait conte savoyard bricolé façon fabliaux... pas terrible.

Le spectacle des oiseaux n'est pas non plus à la hauteur, un scénariste SVP.

Ensuite on se promène dans le site qui est très agréable par beau temps. On navigue parmi les stands.

Les enfants veulent fabriquer une épée, OK. C'est bien mais on se tape plus d'une heure de queue. Le menuisier est très sympa mais c'est long.

Les enfant veulent passer leur diplôme d'apprenti chevalier. Le stand ouvre en retard. Pas de queue prévu, les enfants sont pris au pif. Ceci dit, ici le scénario est assez rigolo.

Chevalier occis

Dans la négatif, je mets aussi le prix d'entrée et un merchandising un peu lourdingue. La sortie est longue car conditionnée par le labyrinthe de la boutique et ses enfants acheteurs.

Bref, je me relis et je me trouve trop critique. Je reste sur une note positive car l'ambiance festive et l'abondance (le potlacth) de spectacles est au rendez-vous. Si, l'an prochain, vous êtes dans les environs, Suisse, Savoie, en particulier avec des enfants, n'hésitez pas, venez y.