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03/09/2015

Ça va le bocal !

Alice Bigorgne travaillait dans le marketing jusqu’à ce qu’elle lise un livre qui a changé sa vie. Zéro déchet, le livre de Bea Johnson est une invitation à réfléchir sur sa propre consommation. Ce livre a inspiré Alice pour ouvrir une épicerie zéro déchet appelée « day by day » ( jour après jour) à Lille.

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« Day by day » est une petite chaîne d’épiceries qui compte maintenant cinq magasins à travers le pays, y compris celui d’Alice Bigorgne. La mission de cette épicerie, et des autres de la chaîne, est de proposer aux gens de faire des courses plus écologiques.

Chez Day by day (quel nom nul !) les ingrédients sont en vrac, vous apportez vos propres récipients. Des produits de qualité : pâtes, riz, légumes secs, fruits secs, céréales, confiserie, café, biscuits ou encore produits d’entretien… Pas d’emballage, quantité à la demande. 

Concept révolutionnaire ? Hum, c’était la façon dont nos grands-parents faisaient leurs courses. Ils amenaient un bocal dans la boutique du coin pour le faire remplir avec la quantité de l’ingrédient choisi dont ils avaient besoin ou pouvaient se permettre. On limite le gaspillage et on réduit les déchets.

Les cinq premiers magasins sont listé ici.

17:53 Publié dans Rudologie | Lien permanent | Commentaires (2) |

28/08/2015

Rudologie bis

Lilian, 8 ans, me parle avec grand enthousiasme de sa visite à Bruniquel* et d’un homme « presque » Cro-Magnon, homme qui lui a montré comment se servir d’un propulseur à sagaies et autres instruments genre fronde à tuer le mammouth bâtie façon marteau d’athlète... Il me dit qu'il a même essayé avec le propulseur et la fronde de tuer une balle de foin faisant office de pachyderme... "mais ce n'était pas si facile." Finalement, il me chante la chanson qu'il connaît assez bien...

Du coup, je cherche la chanson des 4 barbus, le commentaire du Garde-Mots... et je retombe sur ma note sur la rudologie postée en 2009 avant que je ne sois élu au Sidefage et bientôt institué spécialiste du déchet*…

propuls.jpg

La rudologie, une science de notre temps.

Comme dirait Vialatte, le rudologie date de la plus haute antiquité et même plus. Déjà dans sa caverne l’homme de cro, l’homme de ma, l’homme de Cromagnon, pon pon laissait des déchets. Très peu en comparaison de l’homme moderne, cela va de soi.

Ah oui, j'allais oublier, du latin rudus, décombres, la rudologie est l’étude des déchets.

Eh oui, la poubelle, est un bon moyen de mesurer le pouls de la société. (La poubelle ne date que du 19ième siècle, Eugène Poubelle (1831-1907), préfet de Paris, fut amené à prendre un arrêté en 1884 qui obligeait les propriétaires d'immeubles à mettre à disposition de leurs locataires des récipients communs, munis d'un couvercle et d'une capacité suffisante pour contenir les déchets ménagers.)

Plus près de nous entre 1985 et 1990, la société française avait quatre grandes catégories de poubelles :

  • Les poubelles de l’abondance pour les déchets des ploutocrates, les riches, ceux qui ne jettent que des Rolex usagées ou des bijoux dessertis.
  • Les poubelles du choix possible pour les déchets de la classe moyenne qui jette des choses moins fantaisistes, des Swatch qui ne marquent l'heure que deux fois par jour, des quolifichets achetés au souk de Marrakech...
  • les poubelles du nécessaire pour les déchets des HLM. Très riches en cartons d'emballage, pack de bières vides, jouets toc en plastoc et autres rogatons.
  • Enfin les poubelles de l’indispensable, les déchets des pauvres, assez proches des déchets que laissait Cromagnon. Peu de choses en somme.

Les déchets sont précieux pour révéler les comportements spatio-temporels d’une société donnée. Ainsi par exemple, rien qu’en examinant les ordures rejetées par une catégorie sociale, les rudologues peuvent apprendre qui travaille et à quel heure, qui fait la fête, en famille, qui partouze, qui chôme, qui se gave etc… Dans la poubelle on distingue aussi le rat de ville du rat des champs… Bref, la rudologie est devenue une branche importante de la sociologie. Et en ce moment les fours des incinérateurs à ordures du Sidefage ne fonctionnent pas à leur pleine capacité. On se demande bien pourquoi.

A noter que les hommes de la grotte de Bruniquel étaient sûrement des Néandertaliens et pas des sapiens comme l'homme de cro, l'homme de ma, l'homme de gnon, l'homme de Cro-Magnon, ce n'est pas du bidon...   

* Déchet à la même origine que déchoir et décadence qui vient du decadere latin qui veut dire tomber (cadere en italien). Peu à peu le sens du mot a déchu et on a dit "aller en déchié (sic Alain Rey) pour les ordures puis le mot s'est transformé en déchet. Les intercommunalités en ont fait des déchetteries (intercommunales) pour la propreté du territoire (intercommunal).

 

* Ordure vient de ord ou orde qui voulait dire sale. Mot dérivé du latin horridus, hérissé ou à l'aspect sauvage qui a donné horreur et horrible.

A propos de déchié, une petit contrepèterie : "La philanthropie de l'ouvrier charpentier"

09:04 Publié dans Rudologie | Lien permanent | Commentaires (2) |

08/04/2012

Kychtym, Lucens

 

ines-echelle-accident.jpg

Connaissez vous l’échelle INES ?

INES, initiales pour International Nuclear Event Scale, une échelle qui mesure l'importance des incidents ou accidents survenants dans les installations nucléaires.

 

Au sommet, accidents majeurs, on trouve Tchernobyl et Fukushima. No comment !

 

Au niveau 6, on a un seul accident grave, moins connu que les deux autres, qui s’est produit en 1957 non loin de Kychtym. Accident très peu connu car, en pleine guerre froide, les russes et les américains (la CIA) s’entendirent comme larrons en foire pour le cacher au monde entier.

Aujourd'hui 55 ans après, Kychtym* est l'endroit le plus contaminé de la planète. Les rejets radioactifs provenant du centre nucléaire, déversés au cours des années dans les lacs et les rivières atteingnent le chiffre record de 120 millions de curies, soit deux fois et demie les doses relâchées par Tchernobyl. Il faudra attendre six cents ans pour que le niveau de radioactivité redescende au taux encore dangereux de 120 curies.

Encore aujourd'hui, quelqu'un qui resterait sur le site à l'endroit le plus contaminé serait exposé à une dose de 500 rad/heure, suffisante pour tuer un homme en une heure seulement. Le plus surprenant est qu'actuellement il y a encore des gens qui habitent dans ce coin avec un complexe désormais civil et militaire qui y retraite notamment de l’uranium usagé pour des centrales nucléaires suisses !!

Au fait, en Suisse**, que se passe-t-il ? En 1969, le 21 janvier, le cœur de la centrale de Lucens, non loin de Lausanne a fondu. Un accident de niveau 4 sur l’échelle INES. L'accident de rien du tout, donc. Eh bien figurez vous que 43 ans plus tard, l’eau de la Broye, la rivière locale, contient de plus en plus de tritium. En dix ans, elle est passée de 15 à 230 becquerels par litre, a annoncé mercredi l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), qui a enregistré un pic fin 2011.

Et dire qu'un certain président veut nous faire croire au nom de la sacro-sainte Economie, qu’il serait criminel de freiner les centrales nucléaires ces joyaux de la couronne française. Et bien, je dis qu'avant de laisser autant de saloperies à nos enfants... il faut réfléchir ! Au moins réfléchissons !

*Kychtym est à cent kms au sud de Ekatarinenbourg et mille kms au nord-est de Savatov.

**A noter que la Suisse comme l'Allemagne a décidé de dire "Halte au nucléaire !" 

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La centrale de Lucens, fermée en 1969, après que son réacteur a complètement fondu, est sous surveillance continuelle.

31/12/2011

Souvenirs 2011

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Pour terminer l'année, un petit texte à la manière de Perec.

Quelqu’un, je ne me souviens plus qui, m’a demandé de faire un bilan de 2011. Alors, j’ai cherché dans ma mémoire. Eh bien, figurez-vous que je ne me souvenais même pas d’avoir croisé le commandant Arso de retour de Libye et pourtant, j’ai reconnu la photo, c’était bien lui avec son casque de cuir et sa bouche en cul de poule. Mais, au fait, aux fêtes, au faîte, que reste-t-il de 2011 ? 

 

Je me souviens que 2010 s’était terminé par la retraite de Bernard…

Je me souviens à quel point il était heureux le Nanard de rejoindre notre groupe de fainéants qui s’agitent en tous sens pour faire croire qu’ils ne battent pas en retraite.

Je me souviens que 2011 avait commencé par les 60 ans du même Bernard dûment festoyés chez l'amie Roro.

Je me souviens que Josie s’était déguisée en truite et qu’elle frétillait de la queue en chantant du schubert. Ça ne s’oublie pas !

A ce propos de retraite, je me souviens que Pierre avait envisagé d’arrêter. Et même qu’il avait dit qu’il avait arrêté. Arrêté quoi ? On ne s’en souvient plus très bien.

Je ne me souviens pas à quelle date exactement on est allé visiter Marseille… Oui, je sais, ce n’était pas en 2011. Par contre, je me souviens qu’on avait mangé le soir à Sormiou, qu’on avait marché dans les Calanques et but des bières à Callelongue. C’est fou comme on se souvient bien des bonnes bouffes et des bieres.

Je me souviens combien ardue et corsée fut la mise au point des vacances Corse du mois de juin avec ceux qui partaient, ceux qui ne partaient pas, ceux qui faisaient le GR20, ceux qui ne marchaient pas, celui qui avait des plans d’Alaska, celles qui ne savaient pas, ceux qui manquaient d’entraînement, ceux qui se sentait mou du genou, celui qui se trompait de port pour prendre les billets, celle qui avait la vue qui baissait, …

Je me souviens que les Michel n’avaient pas pu venir et étaient partis vers Schönbrunn, Budapest et le beau Danube pas très bleu.

Je me souviens du repas sur le bateau, on étaient six, on avait squatté une grande table en faux bois du Corsica Ferry pour un authentique concours de bons vins et de victuailles.

Je me souviens que sur le GR20, il faisait des orages tous les jours et même, un jour, qu’on a du mettre une corde pour une dalle à peine inclinée… mais ruisselante de pluie.

Je me souviens de Sabine qui, le matin, ne croyait pas aux orages mais qui, l’après-midi, battait des records de vitesse sur un sentier inondé alors que la foudre pétait à nos oreille, une seconde 300 mètres, une demie seconde 150 mètres.

Accélère Sabine !

Je me souviens de Pierre traversant en toute souplesse et légèreté un ruisselet rendu furieux par le même orage. Il avait le pied très sûr délicatement posé sur une échelle couchée sur le torrent par des allemands secourables.

Je me souviens de Bernard inquiet et qui écoutait le récit de vieux corses démoralisants et peu crédibles qui lui expliquaient la bière à la main les affres de la Solitude.

Je me souviens de la tête de René quand on lui a dit que sa réservation au dernier refuge avait été revendue. Je me souviens aussi de sa surprise quand il a retrouvé ses grolles dans le tas en cherchent celle de Sabine, grolles qu’il croyait avoir au pied.

Je me souviens qu’on avait traversé des cascades, et que Patrick riait… Patrick rit toujours, ce jour là, il riait sous cape… sous cape de pluie…bien sûr.

Arrivé sur la route, je me souviens que Chantal, Catherine et Raymonde étaient venues nous récupérer, cela devenait une habitude.

Je me souviens qu’à Corte, les filles dormaient sous un abri précaire en tôle et que, le matin, Chantal était toute piquée par d’invisibles punaises de lit.

Je me souviens que, pendant qu’on montait au lac Melo, Pierre et Bernard avaient rencontré Doumé Colonna, le mythique gardien de Reims, le compagnon de Kopa et Fontaine en Suède.

Je me souviens de Jean et Jean-Marie grimpants sur les dalles qui montaient au lac de Nino. Je me souviens que Jean-Marie et Chantal photographiaient, la bonne excuse, au lieu de grimper comme tout le monde. Je me souviens que certains avaient trouvé longuet le retour vers le col de Vergio, pardon de Vergiù.

Je me souviens de l’église de Casamaccioli, de son dortoir à droite et de son réfectoire à gauche mais je ne veux pas me souvenir pas du restaurant Paglia d’Orba à Albertace.

Je me souviens très bien du gîte à Ota, de la montée vers San Cipriano, du  bain dans le ruisseau, de la plage de Girolata et de la terrasse surplombant la rade où Jean-Marie faisait des farces à Jeannot.

Je me souviens que Chantal, en ruclonant*, avait ramassé des sortes de cimbales et un vieux nid d’oiseau qui doit encore se trouver dans ma voiture.

Je me souviens que Bernard avait quitté la Corse directement pour l’Alaska et la préparation du séjour balnéaire de Josie, Charly et Roselle dans le 49ième état des US. Interrogée à son retour, je me souviens que Josie a dit : les vacances en Alaska c’était bien, sauf que l’eau est un peu froide et le trajet long et fatiguant.

Je me souviens de la découverte du festival d’Avignon, de l’accueil somptueux à Valiguières, des plantes d’Aleth et aussi de l’actrice à peine démaquillé qu’on avait retrouvée en terrasse pour manger. Elle venait de jouer pour nous « Les règles de savoir-vivre dans le monde moderne. » On en a bien besoin.

Je me souviens que grâce à vous, la Quinquaille, Catherine et moi, sommes partis en juillet/août à Saint Petersbourg pour commencer un semestre riche d’expériences russes pour toute la famille Perino.

Je me souviens qu’on ne pouvait pas décemment enchaîner ce voyage en Russie avec la route de la soie en septembre. Je dis la route de la soie parce que je ne suis pas sûr de me souvenir du nom des Stans, ouzbek et  tadjik, je crois… kirgiz, kazak, turkmène… rayez les mentions inutiles. 

Je me souviens que dans les Stans, il y avait, comme toujours, des marcheurs d’un côté, et des intellos contemplatifs de l’autre… Je crois me souvenir qu’il y avait parmi  le intellos le commandant Arso, en repérage sans doute.

Je ne me souviens pas des dates pour la visite du nord en 2012 mais je suis sûr que ce sera encore très bien. 

* Le ruclon est une déchetterie du côté de Genève. Rucloner c'est ramasser des objets dignes du rebut.

26/04/2009

Déchets

A chacun sa poubelle

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A l’initiative de plusieurs conseils locaux de développement qui recouvrent un bonne partie de la Haute-Savoie et de l’Ain, étaient organisée des Conférences Citoyennes sur le thème Déchets et Evolution Durable.

Le terme évolution durable est celui choisi par Dany Dietmann qui ne pense pas que le développement puisse être durable. Depuis plusieurs années, Dany Dietmann parcourt la France pour évoquer ses expériences personnelles – en tant que citoyen et élu – et militer pour une meilleure gestion des déchets issus de notre société de consommation, toujours plus importants et coûteux.

L’aspect le plus spectaculaire de sa conférence, c’est quand il parle de la pesée embarquée. Un opération qui consiste à peser les ordures de chacun et à faire payer les gens aux volumes d’ordure. Dans sa communauté de commune des portes d’Alsace, ils ont commencé dans les années 90 et ils ont réussi à descendre à 87 kilos de déchets non recyclables par habitant et par an. La moyenne nationale est 4 à 5 fois supérieure. A noter que les gens concernés se sont mis à déballer les produits dans les super marchés qui du coup ont prévu un espace à cet effet. Et ça marche !

Une consigne : Ce n'est pas parce que le super marché a remplacé dans nos vie le temple ou l'église qu'il faut le considérer comme un lieu sacré. Vous pouvez y déposer les ordures qu'on vous y vend. Emballages, piles usagées...

15:36 Publié dans Rudologie | Lien permanent | Commentaires (0) |

25/04/2009

Bouteilles

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Navigation sur la rivière Olt en Roumanie près de Mercurea Ciuc

Ce pêcheur de bouteilles plastiques en Transsylvanie essaye de dégager la rivière pour que l'eau puisse s'écouler.  Les pollueurs ne seront sans doute pas poursuivis... Nous sommes dans la grande et moderne Europe.

09:24 Publié dans Rudologie | Lien permanent | Commentaires (1) |

20/02/2009

Rudologie

Ca-vient.jpg

 

Désolé pour la photo peu ragoutante...

mais elle illustre bien l'article.

Je découvre la rudologie...

Une science de notre temps.

En fait je m’intéressais à la rudologie sans le savoir.

Comme dirait Vialatte, le rudologie date de la plus haute antiquité et même plus. Déjà dans sa caverne l’homme de cro, l’homme de ma, l’homme de Cromagnon, pon pon laissait des déchets. Très peu en comparaison de l’homme moderne, cela va de soi.

Ah oui, j'allais oublier, du latin rudus, décombres, la rudologie est l’étude des déchets.

Eh oui, la poubelle, est un bon moyen de mesurer le pouls de la société. (La poubelle ne date que du 19ième siècle, Eugène Poubelle (1831-1907), préfet de Paris, fut amené à prendre un arrêté en 1884 qui obligeait les propriétaires d'immeubles à mettre à disposition de leurs locataires des récipients communs, munis d'un couvercle et d'une capacité suffisante pour contenir les déchets ménagers.)

Plus près de nous entre 1985 et 1990, la société française avait quatre grandes catégories de poubelles :

  • Les poubelles de l’abondance pour les déchets des ploutocrates, les riches, ceux qui ne jettent que des Rolex usagées ou des bijoux dessertis.
  • Les poubelles du choix possible pour les déchets de la classe moyenne qui jette des choses moins fantaisistes, des Swatch qui ne marquent l'heure que deux fois par jour, des quolifichets achetés au souk de Marrakech...
  • les poubelles du nécessaire pour les déchets des HLM. Très riches en cartons d'emballage, pack de bières vides, jouets toc en plastoc et autres rogatons.
  • Enfin les poubelles de l’indispensable, les déchets des pauvres, assez proches des déchets que laissait Cromagnon. Peu de choses en somme.

Les déchets sont précieux pour révéler les comportements spatio-temporels d’une société donnée. Ainsi par exemple, rien qu’en examinant les ordures rejetées par une catégorie sociale, les rudologues peuvent apprendre qui travaille et à quel heure, qui fait la fête, en famille, qui partouze, qui chôme, qui se gave etc… Dans la poubelle on distingue aussi le rat de ville du rat des champs… Bref, la rudologie est devenue une branche importante de la sociologie. Et en ce moment les fours des incinérateurs à ordures du Sidefage ne fonctionnent pas à leur pleine capacité. On se demande bien pourquoi.

21:20 Publié dans Rudologie | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : séguéla |