26/03/2015
Beaune J1
Beaucoup de bons films noirs au festival de Beaune... mais la vie de festivaliers n’est pas si facile (même si ce festival est génial :-). Il y a six salles. File d’attentes sous la pluie. Avec les accréditations on a accès à deux salles avec priorité, venir une demi-heure avant quand même. Il y a les VIPs, les accréditations et le bas peuple. Quand les membres du jury s’attardent devant leur verres de Bourgogne les horaires sont décalés.
Pour les autres salles venir encore plus tôt et risquer de se faire jeter à la fin d’une longue attente humide parce que trop de monde. Pour la soirée des prix, c’est sur invitations mais on a réussi à s’infiltrer dans la seconde salle où on avait la retransmission des festivités, maire, jurys… Morgnaffes de singe. A part ça, c'était super !
Arrivée à Beaune un peu en retard ce jeudi. On ne pourra voir que deux films aujourd'hui.
CRUEL
"De nos jours, dans une grande ville française. Pierre Tardieu est travailleur intérimaire.Il vit dans une vieille maison avec son père, malade.Personne n’a conscience de son existence. Pierre tombe amoureux. Pierre est un tueur en série."
Premier Film dans la section Sang Neuf. Film Français 1 :48 Un bon film avec un acteur principal qui incarne très bien ce serial killer pas totalement antipathique. On ne s’ennuie pas.
UNE SECONDE CHANCE (prix du jury ex-aequo)
Policiers et amis, Andreas et Simon ont pourtant des vies bien différentes. Alors qu’Andreas vit une vie simple avec sa femme et son fils, Simon, qui vient de divorcer, passe la plus grande partie de son temps au bar du coin. Tout va changer quand ils vont devoir intervenir chez un couple de junkies en pleine dispute. Andreas trouve dans l’appartement le bébé du couple et se retrouve alors face à un dilemme…
Film danois 1 :45 Un très bon film. Les gens rencontrés ont, comme nous, beaucoup aimé. Le coup de cœur.
17:19 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (2) |
21/03/2015
Films
Quelques films vus récemment au Rouge et Noir.
On a revu les très beau Timbuktu d'Abderhamane Sissako.
On a pas été emballé par le dernier opus de Clint Eastwood « American Snipper » qu’on a trouvé un peu trop éprouvant, trop guerrier et très… américain
Mitigé, quoique plus enthousiaste pour Birdman. J’ai quand même pensé que c’était mieux que Catherine ne soit pas venuE. Le rythme est effréné. Pas mal de scènes fantasmées.
Emballés par un « vieux » Polansky de 2010, Gost Writer. Une petite merveille de construction. Traité en film policier dans le monde de la politique… A revoir en DVD tellement c’est bien.
Contents d'avoir vu « Imitation games » sur la vie d’Alan Turing. L’inventeur de l’ordinateur à la suite de Pascal et Charles Babbage. Il imagina la Machine de Turing universelle. Bien joué un peu trop
On s'est ennuyé dans le film franco-norvégien 1001 grammes. Quelques belles scènes à sauver. Et puis toujours sensible à cette citation tirée d'Aragon, "Le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard".
Interprétation magique par Barbara :
18:50 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (7) |
28/02/2015
Titles
Il est temps que vous vous mettiez à l'anglais.
Quelques titres de films récemment sortis (depuis 2 mois) ...
...en FRANCE et non traduits
- Red Army
- Hungry Hearts (que j'ai beaucoup aimé - à voir au Rouge et Noir en ce moment)
- Big Eyes
- American Sniper
- Imitation Games
- Taken3
- Tracers
- Snow Therapy
- Hope
- Foxcatcher
- Whiplash
- Wild
- It Follows
- Queen and Coutry
- A most Violent Year
- Into the Woods
A noter qu'il y a plus rigolo, ce sont les titres anglais traduits... en anglais. Les mêmes et d'autres ici. Et quelques titres de film traduits en québécois.
On ne pourra bientôt plus jouer au jeu qui consiste à trouver le titre original de:
- Le train sifflera trois fois
- La prisonnière du désert
- Du silence et des ombres
- Macadam cowboy
- Fenêtre sur cour
- Tant qu’il y aura des hommes
- La mélodie du bonheur
- Sueurs froides
- La chevauchée fantastique
- Voyage au bout de l’enfer
11:32 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) |
25/02/2015
GRAC2
19:19 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) |
06/02/2015
Annonay Suite
Toujours un plaisir d'être à Annonay pour le festival. Cette année le mois de février tient ses promesses... il fait froid. On retrouve Gaël pour une programmation réussie. On retrouve Pascale qui a pris le risque de revenir sur les pas marchés au côté Hervé, sur les films vus avec Hervé et donc des souvenirs à la fois joyeux et difficiles. Ces retrouvailles nous valent des petits dèj fort sympathiques à parler cinéma et à filer la métaphore félines.
A girl at my door
Premier film coréen
Young-Nam, jeune commissaire de Séoul, est mutée d’office dans un village de Corée. Elle se retrouve confrontée au monde rural avec ses habitudes, ses préjugés et ses secrets. Elle croise une jeune fille, Dohee dont le comportement singulier et solitaire l’intrigue. Une nuit, celle-ci se réfugie chez elle…
Le premier film que l'on voit et qui restera le meilleur à nos yeux. Très belle histoire magnifiquement racontée. ****
Bébé tigre Premier film France
Bébé Tigre, c’est Many, 17 ans. Il vit en France depuis deux ans et mène la vie d’un adolescent comme les autres, partageant son temps entre les cours, ses copains et sa petite amie. Mais les responsabilités que ses parents restés en Inde lui ont confiées vont l’obliger à se mettre en danger…
Encore de l'avis de Pascale. Trops de devinettes, trop de choses dans ce film.
Wiplash
Thème mensonge et manipulation
Andrew, dix-neuf ans, rêve de devenir l’un des meilleurs batteurs de jazz de sa génération. Mais la concurrence est rude au conservatoire de Manhattan où il s’entraîne avec acharnement. Il a pour objectif d’intégrer le fleuron des orchestres, celui que dirige Terence Fletcher, un professeur féroce et intraitable. Lorsque celui-ci le repère enfin, Andrew se lance, sous sa direction, à la recherche de l’excellence et de la perfection, quel qu’en puisse être le prix.
Je regrette d'avoir vu la bande annonce quatre fois ce qui m'a mis de mauvaise humeur à cause de l'agressivité, de la compétition effrénée qu'elle dégage. Plus moyen d'être objectif sur la qualité du film qui traite justement de cet excès de compétition.
Les Combattants Premier film France
Entre ses potes et l’entreprise familiale, l’été d’Arnaud s’annonce tranquille… Tranquille jusqu’à sa rencontre avec Madeleine, aussi belle que cassante, bloc de muscles tendus et de prophéties catastrophiques. Il ne s’attend à rien ; elle se prépare au pire. Jusqu’où la suivre alors qu’elle ne lui a rien demandé ? C’est une histoire d’amour. Ou une histoire de survie. Ou les deux.
Un bon premier film, original et très frais. Voir les commentaires de Pascale qui me vont bien.
Quand je ne dors pas Premier film France
Paris, un soir d’hiver. Antoine, fauché, se met en tête d’aller voir la mer par le premier train du matin, gare Saint- Lazare. Il a bien un plan pour payer son billet mais ce n’est pas gagné. La nuit s’offre à lui, une nuit qui n’en finit plus...
Je suis un peu moins dithyrambique que Pascale sur ce film mais c'est vraiment un bon film. Je suis plutôt content qu'il ait été tourné avec peu de moyens. Quand j'ai fait remarqué à Hortense (photo) que c'était quand même curieux qu'Antoine ne s'occupe pas d'elle au lit, elle m'a répondu : "ça, c'est toute ma vie."
Un homme très recherché Thème mensonge et manipulation
Plus de dix ans après les attentats du 11 Septembre 2001, la ville de Hambourg a du mal à se remettre d’avoir abrité une importante cellule terroriste à l’origine des attaques contre le World Trade Center. Lorsqu’un immigré d’origine russo-tchétchène, ayant subi de terribles sévices, débarque dans la communauté musulmane de Hambourg pour récupérer la fortune mal acquise de son père, les services secrets allemands et américains sont en alerte. Une course contre la montre s’engage alors pour identifier cet homme très recherché : s’agit-il d’une victime ou d’un extrémiste aux intentions destructrices ?
Très bon film d’espionnage avec Philip Seymour Hoffman dans son dernier rôle. On suit assez facilement l'histoire ainsi que les relations entre les différentes équipes allemandes et les ricains.
Party Girl Premier film France
Angélique a soixante ans. Elle aime encore la fête, elle aime encore les hommes. La nuit, pour gagner sa vie, elle les fait boire dans un cabaret à la frontière allemande. Avec le temps, les clients se font plus rares. Mais Michel, son habitué, est toujours amoureux d’elle. Un jour, il lui propose de l’épouser.
Un bon film à programmer au Rouge et Noir pour Josie et ses copines d'Aspasie.
Dancing in Jaffa Documentaire Long métrage
Né à Jaffa en 1944, Pierre Dulaine quitte son pays avec sa famille en 1948 pour s’installer à l’étranger. Après une carrière internationale accomplie de danse en couple, Pierre retourne à Jaffa pour réaliser son rêve : faire danser ensemble des enfants juifs et palestiniens pour rapprocher les communautés. C’est là, selon lui, que réside toute la beauté de la danse de salon : forcer deux personnes à se déplacer en faisant qu’un.
Excellent documentaire. Le personnage de Pierre Dulaine est à la fois cocasse et touchant par son obstination à mettre ses gamins en relation via la danse de salon. On réalise le poids de la religion (et des rivalités entre israéliens et palestiniens) sur les gestes simples entre garçons et filles.
Pilules bleues film France
Après plusieurs faux départs dans les années 90, JB, un jeune illustrateur, parvient enfin à séduire la jolie et insouciante Laura à l’aube des années 2000. Lorsque le couple se forme enfin, Laura lui avoue qu’elle est séropositive et son fils Oscar aussi. L’attirance que JB éprouve pour Laura est plus forte que la confusion et le doute qui l’envahissent : il a envie de vivre cette histoire et de tenter l’aventure.
Tiré d'une BD, pilules bleues raconte l'histoire du créateur de la BD. C'est l'histoire de JB dans son amour pour Laura et le risque de séropositivité. JB est créateur de BD. L'utilisation des dessins est assez sympa. Très bon Guillaume Gouix dans le rôle de JB. J'ai beaucoup aimé la scène où la fille qui l'aide à produire la BD (Emilie Caen?) lui fait remarquer qu'elle n'est pas dans la BD et l'embarras de JB.
Les grandes ondes Suisse - Portugal - France
Avril 1974. Deux journalistes de la radio sont envoyés au Portugal pour réaliser un reportage sur l’entraide suisse dans ce pays. Bob, technicien proche de la retraite, les accompagne à bord de son fidèle combi VW. Mais sur place, rien ne se passe comme prévu : la tension est à son comble entre Julie, la féministe, et Cauvin le reporter de guerre roublard. La bonne volonté de Pelé, le jeune traducteur portugais, n’y fait rien : la petite équipe déclare forfait. Mais le vent de l’Histoire pousse le Combi VW en plein coeur de la Révolution des Oeillets, obligeant cette équipe de Pieds nickelés à prendre part, et corps, à cette folle nuit du 24 avril 1974.
Excellente première scène où l'on voit un conseiller fédéral demander au directeur de la RSR de passer des reportages plus softs, style suisse toto (allemand). Ensuite les bras cassés en pleine révolution des œillets, c'est assez tordant et gratiné. Un bon film.
Discount Premier film France
Pour lutter contre la mise en place de caisses automatiques qui menace leurs emplois, les employés d’un Hard Discount créent clandestinement leur propre « Discount alternatif », en récupérant des produits qui auraient dû être gaspillés…
La pub qui dit : "comédie sociale à la Ken Loach" est très exagérée. Vers le milieu du film, on y croit plus vraiment. Un peu moins enthousiaste que Pascale.
Qui vive Premier film France
Retourné vivre chez ses parents, Chérif, la trentaine, peine à décrocher le concours d’infirmier. En attendant, il travaille comme vigile. Il réussit malgré tout les écrits de son concours et rencontre une fille qui lui plaît, Jenny… Mais au centre commercial où il travaille, il perd pied face à une bande d’adolescents désœuvrés qui le harcèlent. Pour se débarrasser d’eux, il accepte de rencarder un pote sur les livraisons du magasin. En l’espace d’une nuit, la vie de Chérif bascule...
Un bon film bien construit avec juste ce qu'il faut de tension. On y croit, on a envie que Chérif s'en sorte. Chérif très bien incarné par Reda Kateb. J'ai un peu regretté qu'on ne voit pas plus la très belle Adèle de la vie d'Adèle.
22:55 Publié dans Festival d'Annonay | Lien permanent | Commentaires (5) |
05/02/2015
Annonay1
Dû à certaines raisons familiales nous n’avons pu aller à Annonay que trois jours avec Michèle. On a quand même vu 16 films dont seulement 4 en compétition :
Max et Lenny
RÉALISATION : Fred Nicolas
SCÉNARIO : Fred Nicolas, François Bégaudeau
INTERPRÉTATION : Camélia Pand’Or, Jisca Kalvanda, Adam Hegazy, Alvie Bitemo Mamounga, Norbert Godji, Martial Bezot, Mathieu Demy, Pierre Salvadori
France – 2014 – 1h25
Lenny est une adolescente sauvage et solitaire d’une cité des quartiers nord de Marseille. C’est par le rap qu’elle exprime les difficultés de son quotidien. C’est aussi par lui qu’elle réussi à s’en évader. Un soir, alors qu’elle répète en cachette dans un chantier à l’abandon, Lenny rencontre Max, une jeune Congolaise sans papier qui tombe en arrêt devant sa voix et la puissance de ses mots. Les deux filles s’adoptent aussitôt…
Un film bien fait sur une histoire d’amitié entre deux ados de RdC (Rez de Chaussée) et du Magreb (à l’ouest). Très beaux textes de slam de Lenny. Très belle personne pour Max. Superbes images de Marseille. Un bon film.
Gente de Bien
RÉALISATION : Franco Lolli
INTERPRÉTATION : Brayan Santamaria, Carlos Fernando Perez, Alejandra Borrero, Santiago Martinez, Sofia Rivas
Colombie – 2014 – 1h26
Eric, 10 ans, se retrouve à vivre du jour au lendemain avec Gabriel, son père qu’il connaît à peine. Voyant que l’homme a du mal à construire une relation avec son fils et à subvenir à leurs besoins, Maria Isabel, la femme pour laquelle Gabriel travaille comme menuisier, décide de prendre l’enfant sous son aile.
Un film trop banal. Pas trouvé d’intérêt.
The Narrow Frame Of Midnight
RÉALISATION : Tala Hadid
INTERPRÉTATION : Khalid Abdalla, Marie-Josée Croze, Fadwa Boujouane, Hocine Choutri, Majdouline Idrissi, Hindi Zahra
Maroc / France / Royaume Uni – 2014 – 1h33
Aïcha, une jeune orpheline, est retrouvée seule au beau milieu des forêts centrales du Maroc. Son parcours personnel et courageux révèle de sa part une volonté farouche de s’en sortir. Arrachée des montagnes de l’Atlas où elle a grandi pour être vendue, Aïcha se retrouve entre les mains d’Abbas, un délinquant minable, et de son amie Nadia. Ensemble, ils rencontrent Zacaria, un écrivain marocain d’origine irakienne, qui a tout quitté - et notamment Judith, une enseignante avec qui il entretenait une relation passionnée - pour partir à la recherche de son frère disparu. Tous les quatre entreprennent un long voyage qui va les emmener à travers le Maroc, à Istanbul, dans les plaines du Kurdistan, et au-delà.
Un film intéressant mais trop complexe. Même le synopsis ci-dessus (écrivain, relation passionnée…) n’est pas « visible ». Complètement d'accord avec Pascale.
White Shadow
RÉALISATION : Noaz Deshe
SCÉNARIO : Noaz Deshe, James Masson
INTERPRÉTATION : Hamisi Bazili, James Gayo, Glory Mbayuwayu, Salum Abdallah, James P. Salala, Tito Ntanga, Riziki Ally, John S. Mwakipunda
Tanzanie / Allemagne / Italie – 2013 – 1h55
En Tanzanie, en 2008, les albinos étaient persécutés. Des médecins "sorciers" offraient de grosses sommes pour se procurer des parties de leurs corps pour leurs potions magiques. Entre 2008 et 2010, plus de 200 homicides liés à ces pratiques de sorcellerie ont été commis. Le film raconte l’histoire d’Alias, un jeune albinos qui, après avoir assisté au meurtre de son père, est envoyé par sa mère à la ville, où son oncle Kosmos lui offre le refuge. Tandis qu’il vend des lunettes, des DVD et des téléphones portables pour gagner sa vie, le jeune homme ne tarde pas à faire l’épreuve, à fleur de peau, de la difficulté de la vie et de la différence.
Un film terriblement angoissant. Une description de la Tanzanie complètement flippante par la violence, la superstition, la misère... Les images sont bien en rapport avec le sujet, noires, cadrées bizarres, la musique idem. Dommage que le réalisateur soit un blanc. On espère que l’office du tourisme tanzanien n’a pas mis un rond dans le film. Bref, entre le zéro et le quatre étoiles pas de milieu possible.
17:27 Publié dans Festival d'Annonay | Lien permanent | Commentaires (2) |
01/02/2015
Les nouveaux sauvages
Un excellent film argentin à sketches, hier soir au Rouge et Noir, sur le thème des gens qui pètent les plombs face à une situation insupportable.
Gabriel Pasternak et un raté, tous les gens qui le connaissent en sont d’accord, sauf qu’il est devenu commandant de bord et qu’il a mis dans le même avion tous les gens avec qui il avait un contentieux sauf ses parents mais c’est pas grave car l’avion va s’écraser sur leur maison.
Avec sa belle voiture, il fait une queue de poisson à un traînard, pas de pot, il va crever, le traînard arrive… Une bataille homérique va s’en suivre.
Au restaurant, la serveuse reconnaît un courtier qui a provoqué la ruine de son père. Sa collègue décide de se venger à travers lui de tous les puissants et malhonnêtes de ce monde.
Un grand bourgeois, dont le fils est responsable d’un accident mortel, propose à son jardinier, moyennant finance, de se porter coupable à sa place. Juge et avocat se montrent bien trop gourmands…
Une femme comprend durant son mariage que son époux l’a trompée avec une des invitées. Sa vengeance ne va pas attendre, elle est terrible et met la fête cul par-dessus tête…
Fatigué de voir sa voiture embarquée par la fourrière, un type (Ricardo Darin, le quincaillier d’El Chino) craque... Il va se venger…
17:16 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) |