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12/10/2020

BS

Après l’IBU, lEBC et le SRM, Scoville, Fujita, Beaufort Richter, Mercalli, Mohs et quelques autres (mal)traitées ici, Aredius me signale une nouvelle échelle : Le BS, pas le BullShit (ça c'est Bristol) non le Brillant Spéculaire.

Le BS mesure de 0 à 100 la brillance. 0 est très mat et 100 est très brillant. Un échelle parfaitement normalisée par l’AFNOR sous le label NF EN ISO 2813 Novembre 2014. Le BS ne mesure pas nos hommes politiques qui sont plutôt ternes mais elle « spécifie une méthode pour la détermination de l'indice de brillance des revêtements selon trois géométries: 20° 60° ou 85°. La méthode convient pour le mesurage du brillant de revêtements non texturés sur des subjectiles plans et opaques. »

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Du coup cette échelle m’ouvre des perspectives gigantesques. Si on pioche dans les sites de l’AFNOR, de l’ISO, de la CEI ou de l’UIT on doit trouver des milliers d’échelles bien droites et moyennement utiles.

ba28d95_4521-xpsm6s.jpgA noter que l’AFNOR peut avoir son utilité. En effet c’est dans ses bureaux que, de 1942 à 46, Boris Vian a pris son inspiration pour Vercoquin et le Plancton* et c'est là aussi qu’il aurait écrit l’écume des jours.

Il était affecté à la normalisation des produits verriers et se plongea ainsi dans l’étude des formes et dimensions de bouteilles et la taille des goulots. On a retrouvé un norme sur les embouchures de trompette qu’il a signé.

* (le Monde) Dans son roman Vercoquin et le plancton tous les bureaucrates du Consortium national de l’unification (CNU) sont de grands gamins qui feignent le sérieux, des immatures qui ne songent qu’à une chose : s’esquiver. Dès que leur supérieur a le dos tourné – il préfère jouer à la manille que remplir ses obligations et fait le contraire de ce qu’il prône –, ils peignent la girafe. Pour deux raisons : par ennui, et parce que le sens de leur mission leur demeure obscur. Par exemple, le projet, en suspens depuis sept ans, d’« unification des clavettes pour roues arrière de voiturettes légères de transport pour matériaux de construction de dimensions inférieures à 17.30.15 centimètres et non susceptibles de constituer un danger notable lors de leur manutention ». Ou l’entreprise absurde de réglementer les surprises-parties (orientation du local, nature des revêtements ­anti-vomi, emplacement des ­baisodromes…).

11:09 Publié dans Echelles | Lien permanent | Commentaires (0) |

11/10/2020

C'est le pied

Les garçons puent des pieds. En général ils puent plus des pieds que les filles. C'est un sujet assez connu mais dont on parle peu. C'est sans aucun doute une erreur.

Il y a 3 ans, Maitane Alonso avait 16 ans. Elle vivait à Sodupe. Son père préparait d’énormes barbecues et souvent il restait de la viande que l'on finissait par jeter. Maitane n'aimait pas ça. 

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D'autre part, Maitane avait un frangin qui puait des pieds. Elle n'aimait pas quand il "rangeait" ses baskets trop près de l'entrée de sa chambre.

Il arrivait que le frangin laisse ses pompes à côté du générateur électrique près de la porte du garage ce qui ne manquait pas de faire râler leur mère un adepte forcenée de l'ordre. Mais Maitane, qui avait l'odorat fin, remarqua (et donc sentit) que placées là les baskets du frérot sentaient beaucoup moins mauvais.

Maitane aimait bien les cours de science et en particulier quand on lui parlait de toutes ces petites bêtes invisibles que sont les microbes. Elle se demandait si par hasard, l'odeur des godillots ne pouvait pas être liée à des micro-organismes. C'est possible dit sa prof d'un air distrait, pourquoi cette question ?

Maitane se dit que des chocs électriques pouvaient être à l'origine de cette amélioration de l'odeur en tuant les bactéries provenant des pieds de son frangin. Hypothèse. Elle se mis donc à tester l'idée et se dit que peut-être cela pouvait marcher pour la bidoche du BBQ. Quelques tests, essais, erreurs et prototypes plus tard. Euréka, ça marchait aussi pour la carne de cola de barba.

Maitane a ensuite pu créer, avec le soutien de différentes entreprises, un appareil industriel, basée sur le même concept, qui a remporté “une longue liste de prix”. L’inventeure a notamment attiré l’attention de la Nasa lors de l’exposition scientifique AMLAT 2018 au Chili. Et elle a gagné le premier prix mondial pour la durabilité et le deuxième prix pour la microbiologie au concours Intel ISEF de Phoenix (Arizona) en mai 2019, ce qui lui a valu d’avoir un astéroïde à son nom.

Le problème auquel Maitane s’est attaquée bravement est un “énorme” défi pour l’humanité, rappelle El País.

L'article de El Pais est traduit ici dans mon hebdo préféré.  

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05/10/2020

Dubuffet

A voir jusqu'au 28 février 2021 au MEG à Genève.

Jean Dubuffet, un barbare en Europe

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On y apprend que Dubuffet fut d'abord marchand de vin avant de se révéler un grand artiste. Il 43 ans quand il provoque un scandale avec la première exposition marquante dans Paris libéré en 1944.

Le musée d'Ethnographie en lien avec la Collection de l'Art Brut de Lausanne était le lieu indiqué pour nous parler de Dubuffet. Dubuffet aimait torpiller l'art officiel, l'art des prétentieux, des académiques... Il aimait découvrir les oeuvres des artistes dit primitifs, des créateurs spontanés, l'art des fous, des marginaux de toutes sortes : prisonniers, reclus, mystiques, anarchistes ou révoltés.

On ne parle pas (au MEG) de l'amitié qui le liait à Vialatte donc je vais vous en parler. Trouvé ici un petit extrait

Vialatte, A., Correspondance(s), Lettres, dessins et autres cocasseries, 1947-1975. Éditions Au Signe de la licorne, 2004, extrait. 

"On me demande pourquoi j’aime Dubuffet. J’aime Dubuffet parce qu’il est charmant ! D’abord il a des petits cheveux tondus ras, bien frottés à la toile émeri, qui lui font un crâne de légionnaire, des yeux bleus en toile de Vichy, bien lavés de frais, qui se souviennent d’on ne sait quels fjords ; il est toujours bien lavé, bien propre, bien joli, bien appétissant ; il est mignon comme une image de dictionnaire. Il se coiffe à Londres avec un petit chapeau moutarde ; il s’habille, il se chausse à Londres, chez le plus grand bottier d’Angleterre, D’Europe. Du Monde. Petit à petit sous mon influence, Dubuffet s’habille dans le Puy-de-Dôme. Il se sert chez Conchon-Quinette, établissement de grande réputation, aux succursales nombreuses, réellement apprécié. Il en acquiert une élégance pour ainsi dire plus départementale, une dignité plus auvergnate et un fruité plus onctueux. [...] C’est un lyrique, un humoriste, un grand poète et un écrivain de première force. Il a le goût, la mesure, le bon sens. Pas dans ses toiles, ses toiles sont poétiques ; la poésie n’a rien à voir avec le goût, elle n’a à voir qu’avec l’abîme. On me dit qu’il est scandaleux. Pourquoi ? Parce qu’il peint des vaches vertes. Mais d’abord toutes les vaches sont vertes, ensuite si elles ne l’étaient pas, il faudrait les inventer telles, et c’est précisément parce qu’elles ne le sont pas qu’il est beau de les peindre vertes. Je trouve beaucoup plus scandaleux de voir en manchette sur six colonnes dans un journal : "Le ministre sera présent au rendez-vous qu’il s’est fixé lui-même." (Je n’invente pas), ou "Le ministre est décidé à faire respecter la loi." Tous les Européens de notre génération ont vu défiler dans leur vie des vaches plus vertes que les vaches de Dubuffet. On leur a fait tout digérer, corne et peau ; et même l’oeil, qui est pourtant triste et beau, et pareil à celui des déesses. [...] J’aime Dubuffet parce que ses toiles mélangent l’humour à une confiture de possibles, une apocalypse de formes, un grouillement de choses incroyables, dérisoires et contradictoires, un opéra de ville engloutie."

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Portrait de Vialatte façon hourloupe pour l'année Vialatte et le fils d'Alexandre parle de leur amitiés. 
Alexandre Vialatte et Jean Dubuffet - par Pierre VialatteIls ont beaucoup correspondu et Vialatte cite Dubufet dans pas loin de 50 chroniques. 
 
"Marcel Aymé parle d'une jument verte, Gauguin intitule Cheval blanc une toile qui représente un cheval rose ; quant au peintre Jean Dubuffet, il ajoute des pattes à ses veaux. Rembrandt, qui avait tous ses diplômes, n'a cependant donné que deux jambes aux syndics de La ronde de nuit ; quelle modestie pour un esprit de cette envergure! Il laissait l'homme comme Dieu l'a fait. (La Montagne, 8 juillet 1958)
_____________________________
 
"CHER, IRREMPLACABLE VIALATTE!" Hommage de Jean Dubuffet
" Son chemin permanent se situait sur une crête où règne l’ambiguïté. La bouffonnerie était l’ombrelle qui lui servait de balancier pour marcher sur cette crête. Il était amoureux du saugrenu. Il le traquait à tout moment partout. Et le trouvait. Dans les menues situations du quotidien le plus banal il débusquait le saugrenu, l’éclairait à plein feu. La vie, évidemment, sa propre condition comme celle des autres et tous aspects du monde, lui apparaissaient d’une étrangeté flagrante, et c’est une étrangeté qui était l’aliment de son exaltation….
Bien sûr que la peinture et les arts plastiques n’étaient pas le terrain familier d’Alexandre Vialatte et que la connaissance qu’il pouvait en prendre - si merveilleusement attentif et lucide que fût son regard à toutes choses - était celle d’un profane. Mais ce regard profane éclaire peut-être plus fortement les choses - les situe peut-être plus justement dans leur contexte - qu’on ne peut l’attendre de celui des experts. Il se peut que les choses se voient mieux définies quand elles sont ainsi abordées de côté, traitées dans un mode insolite, et fut-ce d’un point de vue inapproprié. Volontairement - et très habilement - inapproprié, dirai-je, s’agissant de cette exégèse hilarante. Peut-être que Vialatte, de la même façon que je suis le seul à peindre comme tout le monde, était pareillement le seul à jeter sur les productions d’art un regard profane. Après tout j’ai toujours voulu de mon art qu’il soit celui d’un profane et qu’il ait les profanes comme destinataires.
Bon Vialatte ! Cher, irremplaçable Vialatte ! Je l’aimais très fort et je suis grandement ému en relisant maintenant ces écrits de lui à mon sujet. Mort ou non je refuse de le savoir, il est aussi vivant et aussi présent dans ma mémoire que lorsqu’il était là. »
Paris, 2 novembre 1975, Jean Dubuffet
 
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18:06 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0) |

03/10/2020

Spitting Image

A l'époque de Margaret Thatcher, au siècle dernier, l'emission Spitting Image était pour les anglais l'équivalent des guignols de l'info. Même humour vachard pour les politiques. Ici la reine Thatcher : 

Ils reviennent 24 ans plus tard. La bande annonce de la nouvelle série :

To spit - Cracher

 

19:02 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) |

24/09/2020

Style encore

3336db483088cf4a15dbb19b154d0da6.jpgMais c'est quoi le style ? Illustration de son prestige dans notre pays pas Alexandre Vialatte à la mort de Colette.

(La Montagne – 10 août 1954)

"En vingt jours nous perdons Colette et l’Indochine.

Si on avait dit à Colette en 1890 que sa mort, pendant quelques jours, tiendrait plus de place dans la presse que la perte de l’Indochine, elle aurait ouvert des yeux ronds.

Tels sont pourtant le prestige du style et la lassitude d’une nation. Il faut croire que le style est une bien grande magie.

Le sien était insurpassable.

Il lui a permis de faire un sort glorieux à tout ce qui se voit, se sent, se lèche, se renifle ou se tripote. Elle a les doigts de l’aveugle et le flair du setter. Elle entre de plain-pied dans le mystère animal ; il n’y a eu, parmi tant, qu’un portrait de Landru : celui qu’elle a fait aux assises ; et c’était un portrait d’oiseau.

C’est d’elle que datent les dames mûres, les boules de verre (qui « mouillent la bouche »), le paon, le serpent, les traces du chat, la première ride, l’odeur du chocolat et le parfum de la chair fraîche.

C’est d’elle encore que date sa mère et toutes les fleurs.

C’est d’elle ou de Chardin que datent les pêches. Elle a peint le chat, le python et la femme de façon à rester pour toujours notre plus grand animalier.

 

Juliette_gr%C3%A9co.jpgLe sytyle c'était aussi Juliette disparue hier. La mascotte de St Germain des Prés et du Tabou, et même sa découvreuse avec Boris Vian, Jean-Sol Partre...

Une carrière d'interprête hors pair, de Queneau, Prévert, Ferré, Vian, Gainsbourg... La liste est longue. Adieu Juliette.

 

 

17:49 Publié dans Blog, Vialatte | Lien permanent | Commentaires (1) |

23/09/2020

Morale et style

427e441bf04d3a49dc3e1703ec5cc80c.jpgLà je trouve que Vialatte, qui a écrit ce texte dans la Montagne en 1958, pousse un peu mémé dans les orties. Même en utilisant une brouette ce n'est pas bien !
 
Non, l'avis des gens qui ont mangé leur grand-mère, des incestueux, des parricides et les tricheurs de l'impôt ne doit pas être plus important que cellui, par exemple, des contempteurs de Didier Raoult, ni de ses thuriféraires d'ailleurs. 
 
"II n'est rien de plus étrange que l'homme : il va demander des leçons de morale aux écrivains ! Lui qui n'achèterait pas ses souliers chez le coiffeur ou son chapeau chez le mar­chand de bicyclettes, il s'adresse à un marchand de phrases pour apprendre comment se conduire dans la vie ! Or l'écri­vain commence au style, ou à la prétention au style, et il finit exactement au même endroit. Il n'y a pas plus de morale de l'art que de la brouette ou du fer à repasser. Il y a en revanche une morale de l'artiste. Mais on n'a pas plus de chance de la trouver chez lui que chez le fabricant de brouette, fût-elle à frein sur jante, ou de fer à repasser, fût-­il à marche arrière. Il se peut qu'en vous vendant son précieux véhicule le fabricant de brouettes scrupuleux vous exhorte à ne pas faire trop de vitesse, à ne pas brûler les feux rouges, à ne pas écraser les piétons, bref vous donne mille conseils moraux. Il se peut aussi que l'écrivain vous engage à offrir votre place aux dames âgées et à ne dire du mal de vos meilleurs amis que lorsqu'ils ne peuvent vous entendre. Mais c'est hasard, dans un cas comme dans l'autre; du moins n'est-ce pas obligatoire.
 
Ce qu'il faut demander au marchand de brouettes c'est de la brouette, à l'homme de lettres c'est du style. Le reste est chimère et confusion. Pour la morale on n'a qu'à s'adresser à des spécialistes locaux. On peut trouver dans tout arrondissement des vieillards chenus et modestes, avec du poil dans les oreilles, qui ont élevé trente enfants, sauvé trois cents personnes, pêché cinquante ans la sardine (dans des endroits où l'esprit de la Mer mugit comme un troupeau de taureaux au fond d'entonnoirs de vingt mètres) ou confessé trente ans et par cinquante à l'ombre, des gens qui ont mangé leur grand-mère, des incestueux, des parricides et même des tricheurs de l'impôt. Ils savent tout. Leur accent rocailleux prévient en faveur de leur thèse. Leur savoir ­faire universel inspire confiance. Leur instinct ne les trompe pas : ils vont au Beaujolais. Adressons-nous à eux. Mais à des écrivains ? ... Pourquoi ? ...
 

17:25 Publié dans Vialatte | Lien permanent | Commentaires (0) |

12/09/2020

Vélo - Vendée

Vendredi 11 – Départ du Goviro pour Guérande. Camping de l’étang des pays blancs dans le marais de Brière. Vélo jusqu’à la pointe en face du Croisic par La Turbale. 50 kms.

Samedi 12 – Vélo vers La Baule et St Nazaire. Traversée des ponts et gros bateaux. Plus de 70 kms à vélo.

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Le MSC Virtuosa est un navire de croisière, le 3e plus gros paquebot européen en 2021. Il appartiendra à la compagnie MSC Croisières. Il est actuellement en construction. Equipage 1704 - Longeur 331m. Vitesse : 22.2 nœuds - Cabines : 2440 - Passagers : 6334. Je ne crois que l'on fera une croisière sur cet engin.

Dimanche 13 – Tour des étangs de Brière. St Lyphard – St Joachim – Trignac – St André des eaux. Pas loin de 80 kms.

Lundi 14 – Départ pour la Vendée – Camping Le Puits Rochais au Château d’Olonne. Après midi de farniente.

Mardi 15 – Allée et Retour à La Tranche sur Mer en passant par Jard (souvenir) 90 kilomètres ou presque suivant compteur.

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Jeudi 17 – Départ pour La Roche sur Yon. Visite aux animaux de la place. Pas de place à l’aire de Niort. Camping le Martin Pécheur à Magné. Vélo jusqu’à Niort – 30 Kms de plus.

 

 

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Vendredi 18 – Balade dans le marais à vélo. Coulon, La Garette puis Damvix. Toujours aussi beau. 50 kms de plus ! Puis route jusqu’à Gouzon - Aire CC sympa au centre du village.

Samedi 19 – Retour à Peronnas – Repas puis le Berthiand jusqu’à St Julien

16:56 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) |