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09/02/2012

Bords du lac

Balade à Genève au bord du lac -

Photos envoyées par Pascal (de Toulouse :-)660970_pic_970x641.jpg

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16:56 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2) |

17/01/2012

La Palma

tsuLaPalmaReliefMap.gifSi vous aimez la marche, le dépaysement, un climat plus chaud en hiver et plus doux en été…

Alors je vous recommande l’île de La Palma et le gîte de La Culedus.

La Palma est une île volcanique à l'ouest des Canaries qui rapelle la Réunion pour ses randos magnifiques.

 

 

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La Culedus, un gîte tenu par Aurélien et Jessica [photo]. Un gîte particulièrement accueillant pour les randonneurs mais aussi pour les moins marcheurs car l’île est bien desservie en bus et une location de voiture chez Cicar ne coûte que 150 euros la semaine. Pour les détails, je vous laisse découvrir le site très bien fait.

Soyez sûr qu’Aurélien se donnera beaucoup de peine pour faciliter votre séjour, que les petits déjeuners sont sympas et les repas du soir, si vous le souhaitez, sont savoureux et plutôt couleur locale.

Pour notre part, nous avons fait les randos suivantes  (pour mémoire):

11.JanvierDescente depuis La Zarza sur la LP1 jusqu’à Don Pedro. Pique-nique en face de Tablado de l’autre côté d’un imposant baranco, puis remontée à La Zarza. Belle marche au milieu des fleurs et des cactus.

12-Janvier – La caldera – Aurélien nous monte jusqu’à los Brecitos pour éviter une balade trop fastidieuse. Traversée jusqu’au centre de l’immense Caldera puis redescente dans le barranco des angoisses (las Angustias)  en passant par la fameuse cascade des couleurs. Bonne idée de ne pas faire le tour complet.

13-JanvierDescente du gîte sur le port de Tazacorte par le Camino reale, le Gr qui fait le tour de l’île. 900 mètres de dénivelé négatifs sans compter les 300 mètres environ de remontée que l’on a pas tous gravis vu qu’on a perdu le chemin et tiré au plus court des courbes de niveau dans la seconde partie avant El Time. Balade au milieu des maisons et à travers les barancos sauvages. En haut des amandiers en fleurs, en bas des bananes à perte de vue et pas mal de fleurs de toutes sortes.

14-JanvierRoque de los Muchachos en voiture. 2400 mètres et du vent. Plein de télescopes européens sous leurs boules blanches. Il ferait presque froid. Balade sur les crêtes puis redecente du côté de San Domingo pour emprunter un bout du Camino Reale jusqu’à El Palmar à travers un grand baranco couvert de cactus cierge et parcouru par les chèvres. Retour par le Mercadillo de Puntagorda. Produits locaux, ambiance sympa et excellent mijito avec de la canne fraîchement pressée devant nous.

15 Janvier La route des Volcan – De El Pilar, zone récréative jusqu’au volcans de la Deseada I et Deseada II. Des paysages lunaires, une terre rouge, noire ou mauve. Un festival de couleurs de roches. Une vue magnifique sur toute la côte est (des nuages ce jour là) et ouest et sur le tour de la Caldera avec Los Muchachos et les observatoires au loin. Des volcans tous jeunes (éruption de 1949 Hoyo Negro et Duraznero) – Retour par le Birigoyo soudain recouvert de brume. Descente un peu pénible et crachin en bas. Heureusement au port de Tazacorte, il fait encore grand beau et la bière est fraîche. Les palmitains et les germains se prélassent aux terrasses, c’est dimanche.

16 Janvier – Départ de la Culedus pour Santa Cruz par le nord de l’île. Le soleil joue avec la brume. On pose les bagages et on descend picniquer au phare de Fuentecaliente à l’extrême sud. Il fait un temps magnifique. On monte au Teneguia, sur la Cumbre Veija. Le Tenguia est le dernier volcan a avoir érupté au Canaries (en 1971), sion excepte celui sorti au large d’El Hierro en novembre dernier. Des nouvelles fraiches d'El Hierro.

17 Janvier Retour à Genève par Ténérife. Un peu court le séjour. A refaire donc. Il reste plein de balades sur le site d’Aurélien.

Quelques photos

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En haut dans la Caldera - puis la cascade colorée

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 Daturas et Poinsettias... puis figues de barbarie.

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Le port de Tazacorte vu d'en haut... descente rapide.

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 En basP1030374.jpg

...puis en haut (2400 mètres)

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  Vers 400 mètres, les cierges

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Vous avez dit volcanique... L'Hoyo Negro (la tombe noire) sous un bon profil.

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14/01/2012

Culedus

328.jpgLe paradis de la rando... La Palma... Un accueil des plus sympathique... Bref, le bonheur. Pas facile de bloguer depuis un iPad quand même...

18:53 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) |

12/01/2012

17

 

Quelle est le lien entre

Sudoku

et

Haïku ?

Bien sûr, les deux sont japonais.

Ils sont aussi liés par le chiffre 17.

Un Haïku doit avoir 17 mores (plus ou moins des syllabes en japonais) et on vient de démontrer qu’il n’existe pas de grille de sudoku à solution unique à moins de 17 chiffres indices.

Il existe 6 671 milliards de milliards de grilles de sudoku qui peuvent se résumer à 5'472'730’538 modèles quand on a enlevé les symétries de toutes sortes.  Ceci dit, c’est encore pas mal. Moyennant une bon algorithme et quelques millions d’heures de calcul, des chercheurs ont démontré qu’il faut au moins 17 chiffres pour faire une grille de sudoku. C'est une démonstration par la force brute. Si vous avez quelque chose de plus élégant, sachez que la science du sudoku est preneuse.

Pour les Haïkus, à mon avis :

Tous les haïkus
Jamais ne pourra compter
Je dis : Dieu merci !

Je sais, un haïku doit seulement évoquer... En voici de meilleurs:

Sur les écrans de papier
Elles font des arabesques
Les chiures de mouches.

Sur mon chapeau
La neige me paraît légère
Car elle est mienne.

Une fleur tombée
Remonte à sa branche
Non, c'est un papillon!

Cet automne
Je n'ai pas d'enfant sur les genoux
Pour contempler la lune.
 
Que n'ai-je un pinceau
Qui puisse peindre les fleurs du prunier
Avec leur parfum !

Qui se soucie de regarder
La fleur de la carotte sauvage
Au temps des cerisiers?

Quand elle fond,
La glace avec l'eau
Se raccommode.

Occupé à transplanter les pousses
Il va pisser dans la rizière
Du voisin.

Et une grille à 17 chiffres gratos :

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01/01/2012

Prospective 2012

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Image de sages mayas tirée d'un site savant... 

et qui parle du Popol Vuh.


Attention les amis 2012 s’annonce des plus difficiles.

Ah, vous le saviez déjà ?

OK. Donc, une année difficile et plus courte, car, bien que ce soit une année bissextile, 2012 sera finalement écourtée de 9 jours, En effet, selon le T’zolin, le calendrier des mayas réservé aux échanges essentiels avec l’Univers, et selon la légende du Bison Blanc traduite à partir du Popol Vuh, le livre sacré des Mayas, l’année et le monde s’achèveront le 21 décembre 2012.

Certains prétendent que la traduction quiché-français du Popol Vuh*, en particulier l’épopée du Bison Blanc, est incertaine. C’est tout à fait possible. C’est d’ailleurs pourquoi, dans un pur souci de démythification et même de démystification, et compte tenu de ma fréquentation assidue de la civilisation maya, je me suis penché attentivement sur la question. 

Je m’y suis penché car beaucoup de choses fausses ont été dites au cours des 5125 ans et des 13 bak-tu-nob des mayas, en particulier pendant ce dernier quinquennat horribilis. Pour ma part, je suis convaincu que l’attentisme ésotérique et la passivité bling-bling qui règne laisse planer pas mal d’imbroglios, de confusions, d'idéalismes voire de fumisteries, et donc que cela ne peut nous mener nulle part… et réciproquement. Mais cette débandade est-t-elle vraiment liée à la fin du monde et au calendrier maya ? Je dis : Faut voir…

Dans mes recherches, en particulier sur les Messagers du Temps, j’ai découvert que notre rôle dans le maintien d’un système solaire en équilibre, en particulier notre rôle à nous, la Quinquaillerie, était non d'attendre de l'aide, mais de participer au mouvement. Ne nous demandons pas ce que l’Univers peut faire pour Nous, mais bien plutôt ce que Nous pouvons faire pour l’Univers. Il nous faut penser et agir en conséquence.

On sait que notre système solaire est exactement à la mi parcours, la mi-temps, 6,8 milliards d’années derrière nous et encore 6,8 milliards à tirer avant que le grand froid du Big Crunch ne gèle tout, y compris les Chtis et les Corses au sang chaud. Donc, il faut s’attendre à plusieurs basculements de la planète sur son axe, à de grandes épidémies de grippe, à des scandales liés à l’abus de faux nichons et de vraies niches fiscales, sans compter les crises de l’euro et les renflouements de banque sub-séquents (à la crise).

Oui mes amis, il va nous falloir du courage, surtout que nous savons que nous nous trouvons pris au piège dans des énergies émises par ces poubelles de l'espace que sont les trous noirs bourrés de bosons de Higgs massifs.

Certains comptent sur les drogues psychotropes pour s’en sortir. Je dis méfiance. Ce n’est pas que je doute de l’efficacité intrinsèque des psychotropes dans les temps de crise mais, depuis peu, on sait qu’il faut de méfier des effets secondaires. On a découvert que la Mirtazapine agit rapidement, mais fait prendre du poids contrairement au Citalopram ou à la Reboxetine  par exemple. On sait que la Paroxétine, le Prozac, provoque moins d’effets secondaires sexuels que Le Bupropion ou Wellbutrin, que la Sertraline provoque des diarrhées. La Trazodone entraîne de la somnolence. La Venlafaxine provoque nausées et vomissements. Sans parler des effets secondaires du Gabapentin, de la Desipramine, de l’Escitaloptam et bien d'autres molécules. Vialatte, dont l’année vient de s’écouler, aurait adoré commenter ces découvertes de la science.

Si vous ne voyez pas où je veux en venir, sachez que moi non plus. Il n’est pas facile de suivre le grand Bison Blanc sur le chemin de l’avenir surtout avec un œil dans une traduction approximative du Popol Vuh et l’autre surveillant les progrès de la science. Malgré tout, je crois que l’année 2012 ira à son terme avec où sans nous. Et j’en profite pour vous souhaitez mes meilleurs vœux.

00:30 Publié dans Blog, Textes | Lien permanent | Commentaires (3) |

31/12/2011

Souvenirs 2011

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Pour terminer l'année, un petit texte à la manière de Perec.

Quelqu’un, je ne me souviens plus qui, m’a demandé de faire un bilan de 2011. Alors, j’ai cherché dans ma mémoire. Eh bien, figurez-vous que je ne me souvenais même pas d’avoir croisé le commandant Arso de retour de Libye et pourtant, j’ai reconnu la photo, c’était bien lui avec son casque de cuir et sa bouche en cul de poule. Mais, au fait, aux fêtes, au faîte, que reste-t-il de 2011 ? 

 

Je me souviens que 2010 s’était terminé par la retraite de Bernard…

Je me souviens à quel point il était heureux le Nanard de rejoindre notre groupe de fainéants qui s’agitent en tous sens pour faire croire qu’ils ne battent pas en retraite.

Je me souviens que 2011 avait commencé par les 60 ans du même Bernard dûment festoyés chez l'amie Roro.

Je me souviens que Josie s’était déguisée en truite et qu’elle frétillait de la queue en chantant du schubert. Ça ne s’oublie pas !

A ce propos de retraite, je me souviens que Pierre avait envisagé d’arrêter. Et même qu’il avait dit qu’il avait arrêté. Arrêté quoi ? On ne s’en souvient plus très bien.

Je ne me souviens pas à quelle date exactement on est allé visiter Marseille… Oui, je sais, ce n’était pas en 2011. Par contre, je me souviens qu’on avait mangé le soir à Sormiou, qu’on avait marché dans les Calanques et but des bières à Callelongue. C’est fou comme on se souvient bien des bonnes bouffes et des bieres.

Je me souviens combien ardue et corsée fut la mise au point des vacances Corse du mois de juin avec ceux qui partaient, ceux qui ne partaient pas, ceux qui faisaient le GR20, ceux qui ne marchaient pas, celui qui avait des plans d’Alaska, celles qui ne savaient pas, ceux qui manquaient d’entraînement, ceux qui se sentait mou du genou, celui qui se trompait de port pour prendre les billets, celle qui avait la vue qui baissait, …

Je me souviens que les Michel n’avaient pas pu venir et étaient partis vers Schönbrunn, Budapest et le beau Danube pas très bleu.

Je me souviens du repas sur le bateau, on étaient six, on avait squatté une grande table en faux bois du Corsica Ferry pour un authentique concours de bons vins et de victuailles.

Je me souviens que sur le GR20, il faisait des orages tous les jours et même, un jour, qu’on a du mettre une corde pour une dalle à peine inclinée… mais ruisselante de pluie.

Je me souviens de Sabine qui, le matin, ne croyait pas aux orages mais qui, l’après-midi, battait des records de vitesse sur un sentier inondé alors que la foudre pétait à nos oreille, une seconde 300 mètres, une demie seconde 150 mètres.

Accélère Sabine !

Je me souviens de Pierre traversant en toute souplesse et légèreté un ruisselet rendu furieux par le même orage. Il avait le pied très sûr délicatement posé sur une échelle couchée sur le torrent par des allemands secourables.

Je me souviens de Bernard inquiet et qui écoutait le récit de vieux corses démoralisants et peu crédibles qui lui expliquaient la bière à la main les affres de la Solitude.

Je me souviens de la tête de René quand on lui a dit que sa réservation au dernier refuge avait été revendue. Je me souviens aussi de sa surprise quand il a retrouvé ses grolles dans le tas en cherchent celle de Sabine, grolles qu’il croyait avoir au pied.

Je me souviens qu’on avait traversé des cascades, et que Patrick riait… Patrick rit toujours, ce jour là, il riait sous cape… sous cape de pluie…bien sûr.

Arrivé sur la route, je me souviens que Chantal, Catherine et Raymonde étaient venues nous récupérer, cela devenait une habitude.

Je me souviens qu’à Corte, les filles dormaient sous un abri précaire en tôle et que, le matin, Chantal était toute piquée par d’invisibles punaises de lit.

Je me souviens que, pendant qu’on montait au lac Melo, Pierre et Bernard avaient rencontré Doumé Colonna, le mythique gardien de Reims, le compagnon de Kopa et Fontaine en Suède.

Je me souviens de Jean et Jean-Marie grimpants sur les dalles qui montaient au lac de Nino. Je me souviens que Jean-Marie et Chantal photographiaient, la bonne excuse, au lieu de grimper comme tout le monde. Je me souviens que certains avaient trouvé longuet le retour vers le col de Vergio, pardon de Vergiù.

Je me souviens de l’église de Casamaccioli, de son dortoir à droite et de son réfectoire à gauche mais je ne veux pas me souvenir pas du restaurant Paglia d’Orba à Albertace.

Je me souviens très bien du gîte à Ota, de la montée vers San Cipriano, du  bain dans le ruisseau, de la plage de Girolata et de la terrasse surplombant la rade où Jean-Marie faisait des farces à Jeannot.

Je me souviens que Chantal, en ruclonant*, avait ramassé des sortes de cimbales et un vieux nid d’oiseau qui doit encore se trouver dans ma voiture.

Je me souviens que Bernard avait quitté la Corse directement pour l’Alaska et la préparation du séjour balnéaire de Josie, Charly et Roselle dans le 49ième état des US. Interrogée à son retour, je me souviens que Josie a dit : les vacances en Alaska c’était bien, sauf que l’eau est un peu froide et le trajet long et fatiguant.

Je me souviens de la découverte du festival d’Avignon, de l’accueil somptueux à Valiguières, des plantes d’Aleth et aussi de l’actrice à peine démaquillé qu’on avait retrouvée en terrasse pour manger. Elle venait de jouer pour nous « Les règles de savoir-vivre dans le monde moderne. » On en a bien besoin.

Je me souviens que grâce à vous, la Quinquaille, Catherine et moi, sommes partis en juillet/août à Saint Petersbourg pour commencer un semestre riche d’expériences russes pour toute la famille Perino.

Je me souviens qu’on ne pouvait pas décemment enchaîner ce voyage en Russie avec la route de la soie en septembre. Je dis la route de la soie parce que je ne suis pas sûr de me souvenir du nom des Stans, ouzbek et  tadjik, je crois… kirgiz, kazak, turkmène… rayez les mentions inutiles. 

Je me souviens que dans les Stans, il y avait, comme toujours, des marcheurs d’un côté, et des intellos contemplatifs de l’autre… Je crois me souvenir qu’il y avait parmi  le intellos le commandant Arso, en repérage sans doute.

Je ne me souviens pas des dates pour la visite du nord en 2012 mais je suis sûr que ce sera encore très bien. 

* Le ruclon est une déchetterie du côté de Genève. Rucloner c'est ramasser des objets dignes du rebut.

17/12/2011

Maxence et Clément

J’hésite toujours à mettre sur ce blog des choses trop personnelles. Mais après avoir annoncé un peu tardivement et sans grand tapage la naissance de Méline, puis celle de Lilian et même de leur cousin belge  Gaspard, il me faut annoncer l’arrivée prochaine de Maxence et Clément, attendus cette semaine à St Julien.  Pour l’instant, ils sont dans une chambre d’hôtel dans la banlieue de Moscou attendant un visa. L’ambassade de France se hâte lentement. Quelques photos des petits et de leurs parents dans la grande migration entre Saratov et Moscou, il y a quelques jours. Nous voilà donc quatre fois grands parents.

 Dans l'avion:

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Dans le train

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 En gare de Moscou

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Maxence à Saratov

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Clément à Moscou

Cl%25252B%2525C2%2525AEment%252520le%25252016.jpgDéja passionnés d'internet:

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