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05/02/2010

Mise au point G

Ca-vient.jpg

 

 

Dans le cadre du droit de réponse.

Voici ce que Josie, alias madame G, m’a envoyé…

 

Ah! les Gars! le voici l'état de la Dame entre deux GorGées de ... ?..

Accrochée au charme de la voix de Morel, perlant du sein chaud que fut notre soirée, dans la rondeur de notre amitié, j'y ai cru, à cette cruelle nouvelle : la disparition annoncée du POINT G, confirmée par des chercheurs anGlais et enGourdis des doiGts comme de la lanGue, sonnait donc le Glas d'un temps où les Gestes Gaillards s'enGoulinaient en des Gorges profondes, qui en firent effectivement Glousser plus d'une et moi la première.

Et devant le René et le Joel, GaGnants d'une Guerre des Sexes jamais finie

J’ai appelé intérieurement toutes les Filles et Femmes de la terre pour une insurrérection en formes de Galipettes GourGandines.

Hélas ! lasse du silence réGnant , je me suis enfin résiGnée, la nuit largement tombée, à Gamberger seule, dans la recherche de mon point G, au fin fond de ma grotte intime.

Bien m'en a pris, ... car, en vérité, je vous le dis: G. est toujours là !

Gaillardement là, Génétiquement là, sur sa Garde, Gonflé comme un GuiGnol en Goguette.

Alors , Morel, René, Jojo et tous les autres, pleurez Grave de devoir Garer vos bijoux au GaraGe : le point G est toujours prêt à partir au ¼ de tour, à nous servir comme un dieu, qui sait à lui seul nous ré-jouir!

A vous toutes mes Gamines rient

Madame G - fiévrier 010

09:01 Publié dans Quinqua | Lien permanent | Commentaires (0) |

03/02/2010

Point G

Ca-vient.jpgL’autre soir au chalet des Mégevan, René, toujours lui, a fait la preuve de sa grande maîtrise de la technologie. Il nous a fait partager, au milieu des neiges, une grande nouvelle que vous avez sans doute lu ou entendu ici et là : Le point G n’existe pas.

Pour ce faire, il avait podcasté et gravé sur un CD, la chronique de François Morel de ce vendredi qui tenait l’info d’Andréa Burri, psychologue bernoise et Tim Spector (le frère de Phil ?) épidémiologiste.

Il y avait dans l’assistance de joyeux lurons quelques luronnes adeptes du point G, dont Josie qui n’a pas accepté la nouvelle si facilement. Il faut dire que le point G, nommé ainsi en l'honneur du gynécologue allemand Ernst Grafenberg, qui aurait découvert la zone érogène en 1950, était, comme nous, à son apogée dans les années 70-80.

On comprend cette réticence. Il est, en effet, difficile pour Josie et d’autres de vouer aux gémonies un point qui lui a généré tant de gémissements et de généreuses, voire même géantes, jouissances.

Difficile de croire que ce point génial, quand les génitoires engagés à fond au périgée du périnée, que ce point là puisse ne pas exister. Surtout qu’elles s’étaient données de la peine pour le dégeler. Il ne faudrait pas croire qu’il suffisait de gésir, non, pour que le plaisir ne soit pas mitigé, il fallait gérer sa montée sans négliger les fantasmes imagés les plus dégénérés. C’est à ce prix seulement que pouvait jaillir très haut un geyser génésique à chaque fois régénéré.

Rien ne sert de rager, elles se sont fait gruger, la géographie libidinale a changé et maintenant les voilà âgées. Qu’importe il leur reste des souvenirs d’un point G source de gémissements et généreuses jouissances... En attendant, dixit Bernard, qu'on nous bricole un point P, je sens que je vais me faire égorger.

11:02 Publié dans Quinqua | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : quinquaillerie |

02/02/2010

Mégevan

Qui a dit que les sexagénaires avaient de la peine avec la technologie ? Notre bande de joyeux quinquas et sexagénaires, dit la quinquaillerie, a passé une soirée un peu magique au chalet de Mégevand après avoir brassé la neige pendant plus de deux heures, une soirée à chanter et raconter des histoires, une nuit courte et, le lendemain, une rando à raquettes dans ce décor de rêve. Et, le lundi, voilà un petit reportage grâce à René technicien et artiste :

11:35 Publié dans Quinqua | Lien permanent | Commentaires (2) |

01/02/2010

Kourban à Paris

Ca-vient.jpg

Les liens entre la France et le Turkménistan (j’en parlais ici) ne cesse de se resserrer. De toutes les républiques de l’ex-URSS, le Turkménistan se distingue par :

  • une grande richesse énergétique, du pétrole, et 4ième producteur mondial de gaz.
  • une grande production de coton assècheur de rivières comme l’Amou Daria.
  • une grande pauvreté, 50% de sa population vivant sous le seuil de pauvreté
  • un chomage de 60%
  • un des régimes les plus dictatoriaux qui soit, surpassant la Corée du nord et le Myamar.

Je vous ai aussi parlé de l’ex-dictateur Nyýazow, grand ami de notre constructeur national Martin Bouyghes, qui fut un dictateur ubuesque de la plus belle eau. Nyýazow, décédé, a été remplacé en 2007 par Gurbanguly Berdimuhamedow, Kourban* pour les intimes, qui vient aujourd’hui à la rencontre de notre turmènebachi (grand mamamouchi des Turkmènes ) à nous, Nicolas Sarkozy.

Pour les premières aventures de Kourban en 2007, voir ma note sur le collier en or serti de diamants pesant environ un kilo. Soyons sûrs qu’il peut encore faire mieux en rencontrant nos industriels, emmenés par Nicolas, à Paris pendant 3 jours sous la double protection des américains et des russes.

* Kourban a prété serment sur le Coran et le Ruhnama. Un livre écrit par le turkmènebachi Nyýazow et que Martin Bouygues a fait traduire en français pour que rien ne nous en échappe. Toute la sagesse turkmène est ici en français.


11:24 Publié dans Géographie | Lien permanent | Commentaires (0) |