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19/07/2017

OFF 2017 - J1

Arrivée au camping Bagatelle pour 3 nuits et 4 jours. On découvre que le lanterneau de la salle de bain s'est envolé sur l'autoroute. On met un parapluie à la place et on regarde la météo de samedi... et puis on prend les vélos...

Comme d'hab. on fait les cartes OFF à la mairie. 

spectacle_19656.jpgPremier spectacle à la LUNA : Les passagers de l'aube

C’est l’histoire d’un jeune et brillant neurochirurgien dont les certitudes vont voler en éclat. D’une polémique scientifique qui va mettre en danger sa carrière, l’estime de son meilleur ami et même la femme qu’il aime. D’une quête effrénée où vont s’affronter médecine occidentale et sagesses anciennes, cerveau et conscience, physique cartésienne et quantique. Là où la science peut rejoindre le spirituel. 

Très bien joué par 4 acteurs qui incarnent 7 personnages. Le rapprochement Sciences du cerveau et sagesse ancienne est un peu limite mais visiblement l'auteur s'est très bien documenté sur l'EMI- L’expérience de Mort Imminente et rend la chose plutôt crédible. Le rapprochement avec la physique quantique est plus hasardeuse, (qui sait ce qu'est vraiment la physique quantique ?) Disons que les métaphores sont plutôt moins faciles que ce que l'on entend ou lit ici ou là et qu'il fallait un certain courage pour s'attaquer à un sujet difficile.

Pour terminer sur une note résolument positive, cette pièce est superbement jouée par 4 acteurs dynamiques. La mise en scène est réussie. On passe un bon moment et si on a vécu de près une expérience d'EMI, on ressort sans doute ébranlé et ému. Sinon on apprend des choses et c'est déjà pas mal.  Un bon spectacle pour démarrer. Quoiqu'il en soit on va boire un coup, prendre le frais et parler théâtre chez Marie-Laure qui  un superbe appartement sur le théâtre Actuel 

spectacle_19137.jpgDans les yeux du ciel - au 11 Gilgamesh

Nour,(Lumière en arabe) femme de l’ombre, est le témoin insolite du printemps arabe imaginé par Rachid Benzine. 
Au milieu du désordre irrépressible qui s’est emparé de la rue, le spectacle s’ouvre sur les lignes d’un hall d’hôtel, deux fauteuils et la voix de Nour, improbable. 
Elle qui incarne tous les mensonges, les drames et les complexités de cette société qui se soulève, elle parle. De ces hommes de pouvoir qui la visitent en secret, de la rébellion qui emporte la rue et qui menace sa survie organisée dans l’ombre, de son ami homosexuel et blogueur enthousiaste de la révolution, de sa mère prostituée avant elle, de sa fille, de ce destin terrifiant qu’elle veut faire dérailler, elle parle à Dieu aussi. Et ce n’est pas pour lui passer de la pommade. 

Un seule en scène, très bien jouée par Marie-Sohna Condé. Un sujet un peu trop abordé selon moi (voir sur ce blog l'excellent film : Le Caire confidentiel)  C'est Marie-Laure qui a le mot juste: Un peu plombant. Oui,  ça manque d'air. Faudrait alléger. Pourquoi ne pas utiliser les panneaux lumineux pour passer des scènes des printemps arabes par exemple ?  

17:52 Publié dans Avignon OFF | Lien permanent | Commentaires (0) |

17/07/2016

Avignon 2016-J+1

spectacle_18312.jpgFinalement on ne sera pas allé voir...

Emma Mort même pas peur au chien qui fume...

Grâce aux conseils de Marie-Laure, on a vu 10 pièces bonnes ou très bonnes. Rien de médiocre ni même de moyen. C'est déjà très bien !

Presque 1500 spectacles dans le OFF, ce sont forcément pas mal de bonnes pièces que l’on a ratées. Tant pis. Cette note pour garder quelques traces des spectacles que l’on pourrait voir en 2017 ou 2018 au OFF ou ailleurs.

En attendant ces prochains jours les avis... de René, Raymonde, Françoise, Marie-Laure, le masque et la plume, etc...

15:17 Publié dans Avignon OFF | Lien permanent | Commentaires (3) |

16/07/2016

Avignon 2016-J3

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ZIGZAG, c’est un regard sur la mise en scène avec en support la 1ère scène du Médecin malgré lui de Molière, une conférence déjantée et mouvementée qui réserve bien des surprises…un spectacle ludique, enjoué et surprenant!

Trois comédiens, le conférencier et deux acteurs polyvalents. Trois manières de jouer cette scène de Molière avec des textes de réflexions sur le théatre et en particulier la mise en scène ou le casting (hillarant à souhait !)

Il est assez fascinant de voir combien de pièces de Molière ou inspirées-de sont encore jouées dans ce OFF. Ces pièce ont plus de 300 ans. Comment les représenter ? Les deux versions "modernes" sont absolument tordantes dans leur attaque d'un théâtre pédant et prétentieux (mais c'est dans le IN :-)

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Qui se souvient de l'affaire Dussaert?

Jacques Mougenot (Piche voir note du 14 juillet)mène l'enquête et répond dans un spectacle passionnant, drôle et déroutant aux interrogations que suscitent l'art contemporain.

 

Impossible d'en dire plus mais quelle riche idée que cette conférence pour retrouver l'histoire de Dussaert célèbre peintre contemporain. De passage à Montélimar, expo de Ben qui me semble assez bien illustrer la citation de Delacroix que je ne retrouve pas. Peut-être sera-elle dans le livre de l'affaire que je me propose de commander. Encore pas le temps en fin de spectacle pour un fois que je voulais acheter le livre. Même pas le temps de revenir aux 3 soleils.

 

spectacle_15912.jpgTiré du roman de l'écrivain juif-allemand Edgar Hilsenrath, roman grotesque sur la Shoah et la judaïté en liaison avec le national-socialisme et la création de l'État d'Israël publié en 1971 on assiste à un one-man-show époustouflant de David Nathanson.

 

Un texte costaud porté de bout en bout par le comédien qui nous laisse à peine le temps de respirer pour nous conter la saga de Max Schulz alias Itzig Finkelstein. Un sujet noir tiré sur le burlesque. A la sortie du théâtre, quelqu'un nous parle du livre d'Edgar Hilsenrath... à lire donc.

15:14 Publié dans Avignon OFF | Lien permanent | Commentaires (0) |

15/07/2016

Avignon 2016-J2

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De Abdelwaheb Sefsaf avec Abdelwaheb Sefsaf

 

Médina Mérika s'ouvre comme un polar et se décline comme une fable contemporaine. Dans une ville arabe imaginaire, Ali, jeune réalisateur fasciné par le cinéma américain est retrouvé mort au fond d’un puits. Dans cette Médina, commence alors une enquête singulière aux protagonistes engagés et révoltés mais aussi étranges, comme ce chien qui parle et mène l’enquête.

 

(Ce matin on entend à la radio la relation de ce camion fou à Nice. 84 morts. Estrosi qui fait des commentaires indigne avant que Sarko ne lui emboîte le pas, des écoeurants ! Que faire face à un cinglé qui se prend pour un justicier de sa religion.)

 

Annoncé comme du théâtre musical, c'est du théâtre complet. Les trois acteurs sont éblouissants. Les deux musiciens sont excellents. Les chansons, la plupart en arabe, sont très bonnes. La reflexion sur le choc des cultures entre tradition et modernité, monde arabe et monde occidental à travers la mort d'un cinéaste est superbement illustrée. J'ai pris énormément de plaisir à voir cette pièce d'une grande originalité. Un bémol, la fin mériterait d'être un poil plus elliptique bien qu'on soit content qu'elle ne le soit pas trop, polar oblige.

 

L'auteur, qui joue deux rôles, le borgne assassin et le chien, est fascinant quand il parle et encore plus quand il chante, très fort !  Il faut aussi citer les musiciens Georges Baux, Nestor Kéa et les deux acteurs Marion Guerrero et Toma Roche.  Bref, mon grand coup de cœur 2016. A voir absolument !

 

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Le personnage d’Antoinette, l'adolescente, entre tristesse, rêve, enthousiasme, violence et rébellion. Sa mère, arriviste et pernicieuse, refuse impitoyablement de voir grandir sa fille tandis que le père, récemment enrichi, entend faire son entrée dans le monde, quitte à en payer le prix par d’incroyables et acrobatiques compromissions. 

 

La nouvelle d’Irène Némirovsky « Le Bal » est mise en scène par Virginie Lemoigne. Le sujet est assez ténu mais les acteurs sont très bons. Si en plus on a quelques bons rieurs dans la salle on se bidonne aux mimiques de la professeur de piano, personnage hautement antipathique pas mécontente de voir ces nouveaux riches plongés dans les affres du ridicule.

Une mention pour Françoise Miquelis qui pousse donc le curseur du physique ingrat et de la méchanceté très haut.

 

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Anouilh nous dépeint un portrait de Molière bouleversant. Il est question de son théâtre mais aussi de sa vie intime, de ses désillusions et de ses bonheurs. On rit beaucoup et on est aussi ému par cette sensibilité d'écorché, cette candeur devant la vie

 

On l'avait raté l'an dernier. Un beau texte. Un bonne interprétation en particulier Stéphane Rugraff dans le rôle de Molière séducteur et chef de troupe est excellent. Toute la légende de la troupe et même un peu de l'histoire du théatre nous émeut. 

 

Dommage qu'on ait dû partir un peu précipitamment pour voir la pièce suivante.

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Qu’est-ce qu’être normal ? Sommes–nous prêts à accepter la différence ?


Isabella, interprétée par CATHERINE ARDITI, est une femme déterminée, elle vit avec son fils Miquélé, un jeune homme simple d’esprit.
Cette relation fusionnelle entre une mère et son fils nous parle d’attachement, de sacrifice, avec un mélange de tendresse et d’ironie.

 

Encore une grande pièce magnifiquement interprétée. La mère, le fils, la fille sont excellents dans ce trio qui questionne la normalité. L'auteur et metteur en scène, Fabio Mara, joue ce fils différent qui est devenu la raison de vivre d'une mère au caractère bien trempé. Faut-il mettre Miquelé (Michele) en institution spécialisée comme le voudrait la sœur qui a réussi ? Une situation difficile qui nous tire quelques rires malgré tout. La vie est là. 

11:44 Publié dans Avignon OFF | Lien permanent | Commentaires (0) |

14/07/2016

Avignon 2016-J1

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Le cas exceptionnel de Martin Piche qui souffre d'ennui permanent excite la curiosité d'un psychiatre passionné par son métier.

Les situations comiques s’enchaînent, de l'insolite au burlesque, de l'absurde au désopilant.

Le praticien réussira-t-il à guérir son patient ?

Impossible d’en dire plus mais l’auteur, Jacques Mougenot, qui est aussi Martin Piche le patient nous fait rire et nous mystifie dans un final aussi éblouissant qu'inattendu.

 

spectacle_16496.jpgUn pièce de JEAN PHILIPPE DAGUERRE

Paris-1942: décret de l'étoile jaune pour les Juifs. Joseph Haffmann propose à son employé Pierre Vigneau de lui confier sa bijouterie en attendant que la situation s'améliore.

Sachant que Pierre doit également prendre le risque d’héberger clandestinement son “ancien” patron dans les murs de la boutique, il finit par accepter le marché de Joseph à condition que celui-ci accepte le sien : offrir à sa femme ce qu'il ne parvient pas à lui offrir... un enfant.

Une mise en scène exceptionnelle, des acteurs qui jouent très juste, des dialogues finement ajustés. Que demander de plus ? Un coup de cœur!

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Quand un pianiste virtuose et hétéroclite, formé à l’École de Jazz de Bâle aussi bien qu’à l’école de la route, part sur la trace de ses origines et de celles du jazz…

Un spectacle qui nous raconte à la fois l'histoire personnelle d'un musicien blanc qui aurait rêvé d'être un pianiste noir, et l'histoire universelle de cette fabuleuse "musique noire" : depuis l'esclavage jusqu'aux plus belles pages du Ragtime et du Boogie-Woogie.

Tour à tour pianiste bluffant et conteur touchant, Sébastien Troendlé, grâce à une mise en scène soignée et évocatrice, emporte le public dans un voyage dans le temps débordant de rythmes, de mélodies,  de nostalgie et de sourires.

 

Pas mieux ! Un bon moment de musique. Une démonstration de rythmes  syncopés. Parfait pour une fin de soirée.

09:50 Publié dans Avignon OFF | Lien permanent | Commentaires (0) |

22/07/2015

Avignon 2015 4

 

images?q=tbn:ANd9GcTUelxXxsXnjVgsW-5oNk_uVXgUksQlzB25VefViu92mrOqTK5uXF2rGk8TFemmes de fermes

Théatre Alizé

Interprète(s) : Paméla Ravassard, Muriel Racine, Marie-Aline Roule 
Mise en scène : Henri Dalem 

La vie des femmes à la ferme. L'amour, les enfants, les vaches, la lessive, les comptes... Les femmes qui vivent aujourd'hui à la ferme en ont fait le choix, mais leur vie demeure un combat.

3 comédiennes mêlent confessions, anecdotes et scènes de la vie quotidienne pour dresser le portrait d'un monde en mutation, dévoilant ce que le quotidien des femmes a d'héroïque. Elles s’adressent à tous les spectateurs, car à la campagne comme à la ville l’évolution de la vie des femmes a bouleversé notre modernité.

Du théâtre réaliste bien mis en scène et bien joué par ces trois comédiennes d’une troupe franc-comtoise. Les trois vieilles aux masques font de baux beaux intermèdes, les récit de vie se veulent un peu trop didactique et peu théâtral. Une bonne pièce.

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Comment va le monde

Théatre des Carmes

Urgent de faire entendre la poésie des mots de Marc Favreau alias Sol, ce clown québécois clochard poète, jongleur de mots, humaniste, qui nous parle de l'état de la planète dans un éclat de rire.

Un bijou de texte qui à lui seul vaut le déplacement. Travail de mise en scène et surtout, surtout  performance de comédienne de Marie Thomas.

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Pour vous faire une idée de la richesse des textes de Marc Favreau c’est ici… ou encore là. Ce ne sont pas ceux du spectacle.

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dsc0116.jpgDe quoi parlez-vous

Théâtre Buffon

 

5 pièces courtes comiques de Jean Tardieu.
5 pièces drôles, absurdes, surprenantes ou terrifiantes, alliant toujours dérision et poésie.
5 pièces et un même personnage principal,
 le langage.
Une mise en scène inventive, virevoltante, colorée !
5 pièces ! 18 personnages !
 
4 comédiens qui ont une pèche d’enfer.

Franchement du très très bon théâtre, drôle sur un texte riche.

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Fabrice Luchini et moi

Théatre du rempart

Olivier Sauton, jeune homme rêvant de devenir comédien vedette, inculte mais non sans esprit, rencontre par hasard Fabrice Luchini, son idole. Il lui demande alors d'être son professeur. Celui-ci accepte, et à travers trois leçons de théâtre(imaginées) va surtout lui délivrer trois leçons de vie, et faire découvrir au jeune homme qu'au delà de la gloire et des femmes, il y a l'Art.  

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Dialogue d’un jeune inculte et même allergique à la culture avec Luchini (Une imitation remarquable de Fabrice). Un texte très touchant sur une initiation à la littérature, à l’art et à l’ouverture d’esprit. On avait un peu peur avec ce titre accrocheur mais franchement c’est un des meilleurs spectacles que l’on a vu cette année avec De quoi parlez-vous. Point d'orgue donc !

15:43 Publié dans Avignon OFF | Lien permanent | Commentaires (1) |

21/07/2015

Avignon 2015 3

vladimir20horowitz-018.jpgHorovitz X3 d’Israël Horovitz

Théâtre du VERBE FOU

Interprète(s) : Laurence Briand, Marie-Gaëlle Janssens Casteels 
Metteur en scène : Bernard Lefrancq 

En principe on ne se laisse pas raccoler dans la rue. On a bien fait de faire une exception à cette règle. Aguichés par la belle Laurence Briand à la terrasse d’un restau, on avait rien de prévu pour ce mardi matin. Alors pourquoi pas Horowitz…

Quatre pièces inédites d’Israël Horovitz plus des poèmes et chansons pour ce spectacle original. Un spectacle qui allie humour et étrange autant qu'intensité dramatique et émotion. Deux rôles multi-facettes pour comédiennes de talent.

Quoiqu’en dise le directeur (jaloux) du théâtre Notre-dame, ces deux filles nous donnent un vrai bon spectacle pour des pièces d’Horovitz qui méritaient d’être connues. Lire une description détaillée et très juste de la pièce ici. Particulièrement réussi le numéro de vieille dame, Marie Gaëlle Janssens Casteel (quel maquillage !)  qui cherche son chat et nous parle de sa vie. Et apothéose dans le numéro d’actrices du « Cadeau Promotionnel », à découvrir absolument.

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spectacle_14193.jpgRuy Blas ou

la Folie des Moutons Noirs

Théâtre Notre-Dame

 

Le chef-d'oeuvre de Victor Hugo revisité par Les Moutons Noirs.  Ruy Blas, un simple valet, est utilisé par son maître Don Salluste, un Grand d'Espagne déchu de ses titres, pour se venger de la Reine d'Espagne.  Intrigues, pouvoir, vengeance, amour impossible, tous les éléments du drame romantique sont présents.

 

Dans l’esprit de La folie des grandeurs, les Moutons Noirs vous racontent l'histoire de ce "ver de terre amoureux d'une étoile" avec fantaisie, humour et panache.

A souligner la prestation de Mathieu Alexandre en Don Salluste délirant. Il a réussi à faire beaucoup rire Catherine alors que Louis de Funès ne lui a jamais arraché un sourire.

 

Etat de siège d’Albert Camus

Théatre des 3 soleils.

Que se passe-t-il quand la Peste, incarnée par un jeune opportuniste, surgit dans un pays où rien ne bouge ?

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L’histoire se passe dans une ville ou sévit un gouverneur normalement corrompu sans plus. La peste s’installe et arrive un dictateur avec sa secrétaire. Un jeune médecin Diego amoureux de Victoria va vaincre sa peur et affronté le dictateur, la seule stratégie possible.

La mise en scène est vraiment très originale. Elle présente des marionnettes humaines dans un décor simple et amovible. Les six acteurs interprètes sont vraiment très bons. Ils nous émeuvent. Mention spéciale au dictateur et à sa secrétaire qui nous la joue version managers impitoyables de la world enterprise. Le texte est très bien mis en valeur.

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12:45 Publié dans Avignon OFF | Lien permanent | Commentaires (0) |