01/02/2021
Collapsologie 1
Suite à ces 4 notes sur la Fin du Monde inspiré d’un article de Courrier International. Je veux faire une brève synthèse sur l’apocalypse au goût du jour inspirés de 20 Minutes.
Climat déréglé, pandémies à répétition, écosystèmes détruits, sécurité alimentaire menacée, pénurie de ressources, système financier instable, etc... Notre Terre est gravement en péril. Comment en sommes-nous arrivés là ? C'est ce que se propose de résoudre comprendre la collapsologie.
Les plus pessimistes annoncent la fin de notre monde pour l’année prochaine, les plus optimistes pour 2030. S’ils n’ont pas la date exacte, les collapsologues n’ont aucun doute : notre civilisation va s’effondrer. Ce n’est pas l’apocalypse de Jean mais c’est la fin de la société de l’abondance.
Le néologisme « collapsologie » est né en 2015. Epuisement des ressources pétrolières, extinction des espèces, malbouffe. L’effondrement, c’est la convergence de toutes les crises : climatiques, écologiques, économiques, sanitaires, sociales…
L’idée n’est pas toute neuve. Fournier de Charlie Hebdo et la Gueule Ouverte en parlait dans les années 70, Dumont candidat à la présidence aussi. Ce qui change c’est la vitesse à laquelle cela nous arrive sur la tronche. Selon Yves Cochet, grand pape de la collapsologie en France, c’est quand les besoins de base, eau, alimentation, logement, vêtement, énergie) ne sont plus fournis au grand nombre par des services publics. « L’effondrement se fera par un effet de domino », insiste-t-il avant d’en donner les grandes lignes. « Il faut imaginer une vie où il n’y a plus rien dans les distributeurs automatiques, où l’essence est rationnée, où l’eau potable n’arrive pas souvent, où il y a de grandes sécheresses et de grandes inondations. Il faut se préparer à vivre ces tempêtes ».
Pour les collapsologues, éviter la catastrophe n’est plus une option. On prend le virage à toute vitesse et on est en train de sortir de la route. Alors, comment limiter les dégâts ? Voir la courbe optimiste ci-dessus.
07:32 | Lien permanent | Commentaires (2) |
Commentaires
Après nous, le déluge ! disait Madame de Pompadour (1). Mais ces temps-ci il est là le déluge ! et l'opticien qui m'a vendu des lunettes hydrophobes est un charlatan. Je cycle en me mettant en danger.
Au moins sur ton blog on apprend des choses que les curés ne racontent plus en chaire. D'ailleurs y a plus de chaires. Reste le pêché de la chair
(1) elle n'est jamais venu dans son château de Pompadour ! La baise avant la Corrèze disait-elle à Louis XV avant que Raymond Cartier transforme ça en La Corrèze avant le Zambèze.
Écrit par : Aredius44 | 01/02/2021
Les lunettes hydrophobes, je croyais que c'était pour les toilettes mais non ! Les miennes sont anti-reflets, elles foncent au soleil... Elles avaient plein d'avantages entre autre d'être fabriquées en France mais deux mois plus tard elle ont pété et comble de l'infortune le verre est rayé (pas anti-rayure, zut !) Pour arranger le tout, le modèle ne se fait plus (deux mois !). Bon, ils m'ont trouvé une solution, il y avait vert et noir ou orange et noir. Je vais ressemblé à une salamandre.
Il se dégage
De ces cartons d'emballage
Des gens lavés, hors d'usage
Et tristes et sans aucun avantage
Écrit par : Joël | 01/02/2021
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