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18/01/2007

Mauvais départ

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Andrew marchait d’un bon pas en direction des sommets. En traversant ces villages des Pyrénées on croise de grosses dames à tablier qui marchent et des papys assis sur le devant de leur porte près d’une chapelle de pierre. Allait-il retrouver un homme ou un squelette ?
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Tête baissée, Amhed bricolait sa mobylette devant le garage des HLM. Paul l’observait le regard en coin. Difficile de croire que ce frêle jeune homme basané aux mains pleines de cambouis ait pu concevoir ce plan aussi ingénieux que destructeur et qui avait occupé Amar toute la soirée de la veille.
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Je suis né avec vingt ans d’avance, trente peut-être… Cela peut sembler un avantage pour les gens qui n’y ont pas réfléchi, pour moi, ce fut un martyre de chaque jour. Mauvais départ, né dans une famille en retard, pourtant ce n’était pas de la faute de mes parents vu qu’ils ne m’attendaient plus, que mon frère aîné avait déjà vingt-cinq ans et que papa fêtait ses soixante cinq ans ce triste jour où j'ai poussé mon premier cri.

21:25 Publié dans Incipit | Lien permanent | Commentaires (5) |

Commentaires

Langue au chat / langue au chat / langue au chat.

C'est cruel franchement, cette manie des incipits mystères. Moi, à part "Longtemps je me suis couché de bonne heure"... Et encore je suis pas sur si c'est de Shakespeare ou de San antonio ?

Écrit par : dvanw | 18/01/2007

Inutile de chercher Denis, ce ne sont que les incipits de romans que je n'ai pas encore écrits ou qui ne sont pas publiés :-)

Écrit par : Joël | 19/01/2007

Et revoilà une histoire à épisodes... :-)

Écrit par : Sugus | 19/01/2007

Local de l’union du serpent, 18h00

- Mes amis, il est clair que si nous voulons lutter contre les croupes de chocs de Varanesse, il nous faudra compter dans nos rangs de puissants alliés, s’exclame une voix fuyante. C’est pour cela que nous avons recrutés deux nouveaux soldats dont la réputation n’est pas à défendre : il s’agit, et vous l’avez tous^probablement deviné, de Véhémoth et de Korat, plus connu sous le nom de Fantôrat le Korat.
Bien entendu, vous savez tout comme moi que ce sont deux êtres très peu recommandables.
A ces mots, deux gaillards qui se tenaient jusqu’alors dans une pénombre susceptible de garantir l’anonymat, s’avancent avec dextérité et ce sans plus soucier de cacher leurs origines irakiennes. En effet, dotés de tête en forme de coeur justifiant de leur plus grand pedigree, les deux chats racés se présente avec un laconisme redondant que l’on n’aura pas la lourdeur de retranscrire ici.

Écrit par : Fantôrat | 17/02/2009

Un début prometteur Fantôrat. Merci quand même de ne pas retranscrire ici le laconisme redondant ni d'ailleurs tout excès lapidaire. Sachons rester succinct quand il s'agit du superfétatoire, surtout dans un incipit.

Écrit par : Joël | 18/02/2009

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