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17/01/2013

Ciné et littérature

Cinéma littéraire cette semaine à Saint Julien Rouge et Noir

 L’homme qui rit d’après Victor revu par Jean-Pierre.

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En pleine tourmente hivernale, Ursus, un forain haut en couleurs, recueille dans sa roulotte deux orphelins perdus dans la tempête : Gwynplaine, un jeune garçon marqué au visage par une cicatrice qui lui donne en permanence une sorte de rire, et Déa, une fillette aveugle.

Quelques années plus tard, ils sillonnent ensemble les routes et donnent un spectacle dont Gwynplaine, devenu adulte, est la vedette. Partout on veut voir ‘L’Homme qui rit’, il fait rire et émeut les foules. Ce succès ouvre au jeune homme les portes de la célébrité et de la richesse et l'éloigne des deux seuls êtres qui l’aient toujours aimé pour ce qu’il est : Déa et Ursus.

Depardieu joue Ursus en grand acteur qu'il est (ceci n'empêche pas le pauvre type à la Céline). Le discret Jean-Pierre Améris tire l'histoire du côté du conte et de la démesure ce qui sied bien à Victor. Un bon moment d'évasion.

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Alceste à bicyclette, d’après Jean-Baptiste revu par Fabrice.

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Déclamation de la grande scène 1 de l’Acte 1, entre Philinte et Alceste sur l'ile de Ré à la morte saison, parfois indoor, parfois  à bicyclette, tantôt fort tantôt à voix basse, toujours juste. Lucchini en misanthrope aigri alterne avec Lambert Wilson venu le convaincre de remonter sur les planches alternativement en Alceste et en Philinthe. Un bon moment.

11:37 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) |

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