14/10/2012
Capri
On fait des choix parmi des prévisions météo toutes pessimistes. Un coup tu perds, un coup tu gagnes. Belle journée pour Capri.
Balade des deux côtés de l’île en évitant autant que possible les boutiques de luxe. Paraît que le ramadan a fait perdre beaucoup d’argent au commerce local. Les boutiques de luxe n’ont pas bien vendu cet été. Les cheiks en blanc et les dames en noir ont boudés les luxeries.
Nous, on s’en tape, on marche dans les ruelles étroites et on cherche la villa la plus littéraire et cinématographique qui soit... et forcément, on la trouve au bout du chemin, planquée derrière les pins. Voilà ce qu’a fait construire Curzio Malaparte (l'auteur de la Peau et Kaputt) et que Godard à utilisé dans le Mépris film inspiré d'une nouvelle d'Alberto Moravia ( Il Disprezzo).
Du côté Anacapri, on atteint le jardin des philosophes (mais que fait donc cette madone au milieu du jardin ?) et son belvédère pendant que les toutous montent en télésiège au point culminant.
Retour à Sorrento pour diner al Buco, un resto qui n'a rien d'un trou.
22:03 Publié dans Naples | Lien permanent | Commentaires (1) |
Commentaires
Vous avez eu du pot. Nous en n'a pu y aller ... vents violents.
Écrit par : aredius | 23/10/2012
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