20/05/2007
Jack poète
.
Quelques vers
de
Jack Rollan
cités
en commentaire
par JLK
.
C’est affreux de penser à vous
sachant qu’il faut y renoncer
puisque ma vie arrive au bout
alors que vous la commencez
...
C’est affreux de penser à vous
mais plus affreux est de penser
que j’aurais pu mourir sans vous
avoir vue un instant passer.
______________________
Je t’aurais fait l’amour
en écoutant Ravel
à genoux, sans bouger,
comme on fait sa prière
_____________________
Je n’aime pas mon cœur
tabernacle d’un culte
où mon enfance en pleurs
déteste cet adulte
qui rate son bonheur.
...
Je ne supporte pas
le bruit de cette rue,
où je m’endors tout seul
où je m’endors sans toi
je ne supporte pas
mon drap de toile écrue
qui me fait un linceul
puisque j’y dors sans toi…
21:15 Publié dans Jack Rollan | Lien permanent | Commentaires (1) |
Commentaires
Tiens ce n'est pas le Jack Rollan que je connaissais!
Écrit par : Sugus | 21/05/2007
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