Paris J4
14/12/2018
On traverse les Halles. Il fait encore un temps magnifique. Un peu frais peut-être. On passe par la boutique Lego, une tradition comme la recherche de l'écharpe introuvable, encore que cette fois on l'a trouvée.
Le grand sapin dans le trou. L'église Saint Eustache et en route pour passer la reste de la journée à Beaubourg.
Le cubisme au dernier étage. Picasso, Braque mais pas que... Beaucoup de toiles et un panorama complet depuis Cézanne jusqu'aux successeurs.
A la bibliothèque expo Riad Sattouf. Comme on vient de lire le 4 de l'Arabe du futur, on n'y passe un moment. Pas mal de gens qui se marrent en regardant les planches affichées. Les Cahiers d'Esther et aussi La vie secrète des jeunes adaptée sur Canal+.
Après le casse-croûte à la cafétéria du premier étage (pas terrible) visite de l'expo Tadao Ando.
Un architecte japonais autodidacte et qui fait parti des tout grands de la profession avec Gerry, Nouvel, Piano, Pei, Botta... Il a entre autre dessiné la pointe de la Dogana à Venise (musée Pinault), des maisons et des musées au Japon...
Sur le texte accompagnant le Château Lacoste, un lieu de vin où ont contribué une brochette de grands architectes, il y avait un texte "La joie de se sentir Vivre". Un petit malin avait biffé le V.
Tout près des Halles, sur des dessins d'Ando, rénovation de la Bourse du Commerce pour en faire un autre musée Pinault (merci Bernard dirait Ruffin !). C'est sympa les musées et les Airbnb mais que va devenir le ville de Willy Ronis sans habitants ?
Retour au bercail non sans subir la joie des retards SNCF. Trois heures de suspens sur la correspondance pour finalement arriver à l'heure.
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