Agenda21
24/01/2014
L'Agenda 21 est un plan d'action pour le XXIe siècle adopté par 173 chefs d'État lors du sommet de la Terre, à Rio de Janeiro, en 1992.
Avec ses 40 chapitres, ce plan d'action décrit les secteurs où le développement durable doit s’appliquer dans le cadre des collectivités territoriales. Il formule des recommandations dans des domaines aussi variés que la pauvreté ; la santé ; le logement ; la pollution ; la gestion des mers, des forêts et des montagnes ; la désertification ; la gestion des ressources en eau et de l’assainissement ; la gestion de l’agriculture ; la gestion des déchets ;
Une vidéo réalisée en Provence Côte d'Azur qui permet de comprendre deux ou trois choses qui se cachent derrière cette appellation. Vous pouvez avancer d'une minute 30 pour sauter la musique énervante :
Développement durable : action! (Version HD) from fokus 21 on Vimeo.
2 commentaires
Je ne supporte plus cette expression "DD" quand je vois ce que l'on fait en son nom. J'en ai des exemples quotidiens.
Et il suffit de dire "Développement durable" en face de ces exemples pour faire rigoler les gens. Triste. Car d'un autre côté, voir des municipalités s'en f... n'est pas plus rigolo.
C'est comme le "bio". J'ai arrêté de proposer mes pommes à mes relations écologistes. Mes pommes ne sont pas assez lustrées. Elles ne ressemblent pas à celles du commerce. Et mon copain écologiste producteur non patenté se fait jeter car les gens veulent des châtaignes et des pommes sans cussous. Un métier d'avenir, écraseur de cussous et lustreur de fruits. Comme d'ailleurs aide à la personne (métier d'avenir, nous ont expliqué les économistes). Mais là il faut des costauds pour soulever les vieillards que nous serons.
En tout cas ma ville natale a trouvé le filon. Son centre de traitement de l'obésité fait un tabac. Elle espère que les clients reviendront passer leurs vacances.
C'est vrai Aredius que l'abus de cette expression DD est fatiguant. Ceci dit, n'importe quelle autre aurait le même effet. En fait, ce qu'il faut c'est de la sobriété, de la simplicité, on ne peut plus continuer à consommer comme on le fait. Ceci dit, je ne suis pas trop placé pour jouer les pères lavertu vu ma consommation élevée de voyages en avion.
Au niveau collectif, je constate que souvent les responsables veulent toujours le meilleur pour leur service, le plus cher, même chez certains qui parlent bio. La boboïtude se moque du monde. On a besoin d'une vraie réflexion philosophique sur ce sujet. Est-ce trop tard pour un vrai changement ou, par chance, est-il encore trop tôt pour dire s'il est trop tard ?
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