30/11/2009
Souffle
Lu dans le livre de Jean-Michel Guenassia, « le club des incorrigibles optimistes » : « Le plaisir de respirer, on y pense pas assez. » Il a raison. J’y pense quand je monte les pentes du Salève et que le souffle se fait plus court. En montant, le plaisir de respirer et au sommet, la récompense : C’est que l’on voit du sommet du Salève quand on regarde du côté des Alpes et du Mont-Blanc un de ces jours d’automne ou l’anticyclone est sur la France et le brouillard dans les cuvettes de Genève et de l’Arve et parfois d’Annecy. A gauche de ça, il y a encore plein de montagnes,...