Turin
17/09/2017
Turin, très belle ville, la ville des ducs de Savoie, première capitale de l’Italie. Une petite pensée pour Trystan qui l’aimait beaucoup. 17 kilomètres d’arcades en bord de rue. Une ville qui respire. Pas mal de pistes cyclables, suffisamment pour se rendre à n’importe quelle adresse en vélo. Petit bémol, le revêtement des pistes ne vaut pas celui des chères voitures. L’aire de camping-car Ciao Mario à 7 kms du centre est bordée par la ligne de tram 4.
Visite de la Sindone, l’église ou l’on conserve le soi-disant Saint Suaire. Malgré des études qui montrent que ce linceul date du 13 ou 14ième siècle, rien à faire les croyants croient. (ceux qui croient, ceux qui croient croire, ceux qui croa-croa). Une aubaine pour l’église, plus de 2 millions de visiteurs lors de la présentation de 2010.
Balade dans la ville, rue Garibaldi, piazza Porta Palazzo et son gigantesque marché qui contrairement à celui de St Julien fait des prix très bas, parc del Valentino et son animation… Un régal avec quelques gelati en plus.
Visite obligée du Palazzo Madame et de ces jardins. Expo temporaire où l'on retrouve les Bororos
Une journée à vélo le long du Po et de la Dora Riparia. Montée au Monte dei Cappuccini, arrêt au village médiéval, repas Da Michele.
Visite du musée du Cinéma à la Mole Antonelliana. Expo très exhaustive consacrée aux animaux au cinéma.
J'allais oublié la Consollata, une église remarquable d'après Cartoville. Le baroque est ici à son comble. Une architecture peu classique et un amoncellement de bondieuseries hors du commun. Ça brille, ça flashe,ça kitche un max. Allez y pour voir jusqu'où les catholiques peuvent pousser la superstition.
Retour à St Ju par le col du Grand Saint Bernard et Martini puisque l’aller-retour du tunnel n’est valable que 7 jours. Vélo d’Excenevex pour manger les fameux filets de perche.
1 commentaire
J'avais une mauvaise image de Turin. Ville industrielle qu'on laisse sur le côté quand on va à Venise. Mauvais souvenir des environs de Turin quand je faisais l'Europe en stop en 1966.
Merci de ce reportage. Turin serait-elle une sorte de Bologne ? Peut-être que la bolognaise y est meilleure qu'à Bologne.
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