Un Cap pour St Julien
23/02/2014
Des articles en masse sur le site d'un Cap pour Saint Julien
Et c’est tant mieux pour l’essor de notre ville! car on sait combien l’art et la création, dans la variété de ses expressions artistiques, sont des fenêtres qui ouvrent à la découverte, au beau, au rêve, à l’insolite et …aux autres !
Faut-il plus ou moins d’intercommunalité ?
Au niveau de notre territoire, faut-il transférer plus de compétences à la Communauté de Communes du Genevois ?
Pour tenter de répondre à la question, on peut se demander si l’intercommunalité réduit les coûts ou, au contraire, si ce n’est qu’une couche supplémentaire ajoutée au mille-feuille administratif qui, in fine, coûte plus cher au citoyen. On peut aussi s’interroger pour savoir si, en éloignant le citoyen de ses élus, l’intercommunalité ne dégrade pas la démocratie. Lire la suite...
Embellir le centre-ville de Saint-Julien et le rendre plus accessible
Le centre-ville de Saint-Julien est aujourd’hui peu lisible. Ses places se succèdent sans lien entre elles. Les différents aménagements réalisés entre les années 1970 et 2000 n’ont pas donné la priorité au traitement de la circulation automobile. Notre programme propose des aménagements pour que le centre de Saint-Julien devienne le point de rencontre convivial et dynamique de tous ses habitants. Lire la suite...
Les visites de quartier sont un des temps forts de notre campagne pour les prochaines élections municipales. Les « Porte à porte » nous permettent d’informer nos concitoyens et d’échanger directement avec eux sur notre programme et sur leurs besoins. Ce lien de proximité, nous continuerons à le cultiver. Lire la suite...
Savez-vous que le ramassage des ordures ménagères dépend de la Communauté de Communes (CCG) et que leur traitement dépend du Sidefage ? Nous voulons améliorer la collecte des déchets dont les encombrants et soutenir les initiatives pour démocratiser le compostage. Lire la suite...
Avec Un Vrai Cap pour Saint-Julien, tissons de nouvelles solidarités entre les générations au sein de la Maison Intergénérationnelle de l’Enfance et de la Famille. La Maison Intergénérationnelle de l’Enfance et de la Famille en cours d’achèvement est un projet pilote par bien des égards. Il associe dans un même bâtiment exemplaire tant sur le plan architectural, énergétique que sur celui de l’accessibilité, plusieurs services dédiés à la famille dans son acception la plus large. Lire la suite...
_________________________________________________________
Peintures à peine sèches, le samedi 23 a vu une affluence considérable à la MIEF pour la journée Portes Ouvertes. Salle comble pour la conférence sur les aspects développement durable de ce nouveau bâtiment. Vifs encouragement du président de la CAF de haute-Savoie qui a qualifié cette maison de "projet novateur qui réunit en un même lieu crèche, espace intergénérationnel (centre social), services du département PMI et assistantes sociales. Cet ensemble devra servir de modèle à tout le département. Une enveloppe de plus de million d'euros de subvention d'équipement (crêche, centre social et ludothèque) pour accompagner ces projets ; C'est le record absolu au niveau de la CAF74."
Satisfaction du vice-président du Conseil Général pour cette maison et les bureaux mis à disposition du CG au dernier étage. Excellente présentation sur les excès des jeux électroniques et les risques de l’hyper connectivité pour les jeunes et les moins jeunes par des spécialistes venus de Suisse Romande...
On s'est bousculé toute le journée. Gros succès des crèches pour les parents et les enfants, mais aussi vif intérêt pour l'espace Part'âges qui est le nouveau point de ralliement de toutes les générations. Espérons que ce démarrage en fanfare sera suivi de toujours plus d'implication des saint-Juliennois à travers les ateliers, la cuisine pédagogique, la ludothèque animés par la petite mais très active équipe de Létitia. Merci à tous.
4 commentaires
La campagne est partie.
A donfe !
J’aime et apprécie la présentation et les idées de votre équipe. On y comprend vos soucis et vos questionnements.
Une de vos questions, y a-t-il trop de communes ?
Si l’on met les lunettes des administrateurs, des administrés, ceux qui recherche à faire de meilleures économies en rendant les services plus efficients, celles des gens qui vivent des services de la commune… Les lunettes de ceux qui ne les mettent pas sur les yeux mais au sommet de leur crâne par ce qu’ils croient qu’une grande commune est un tremplin pour sauter plus haut… La boucle des grandes communes est faite et bien faite.
Moi, j’ai envie de dire qu’il faut garder vos communes… L’assemblée communale est le dernier ilot où les gens qui ne s’aiment pas peuvent apprendre à le faire. Fréquenter des gens qui, au premier abord ne nous intéressent pas, avec qui on n’a pas envie de frayer, on ne le fait pas volontiers.
Autre fois, c’était le rôle des églises de réunir et faire vivre pour un moment toutes ces différences. La religion a eu raison du bon sens de cet exercice et l’on inventa, les ordres religieux, les sectes, les partis politiques, etc. Il ne reste plus que l’assemblée communale comme espace pour apprendre le difficile exercice du partage des différences.
Le Maître du Joueb parle de démocratie… La démocratie de plus en plus, c’est le 51% des gens qui exigent à la partie restante de la fermer. Bien sûr personne ne veut des clans, des clubs, des gangs ou des ghettos… En bon démocrate, on ira les voir, en leur disant : ‘vous êtes des nôtres, il vous suffit juste de penser un peu comme nous’.
Depuis pas mal de temps, nous assistons impuissants semble-t-il, aux dérives et déviations de minorités qu’on n’écoute pas ou qu’on ne prend plus le temps d’écouter. Trop souvent, on imagine résoudre les problèmes avec des règles et de l’obéissance, on n’hésite plus concernant les dépenses en gendarmes, sécurités de toutes sortes, sans oublier les prisons, pour faire appliquer cette ‘dernière chance’ qu’on offre à tous ces…
La commune, à mon avis, est le territoire et le lieu social où les gens qui ne se sentent pas bien peuvent vivre leurs crises, et être compris et aidé par la population. Ceci sans l’intervention des spécialistes, les psys, les docteurs, les avocats, les gendarmes, les troupes supposées protéger nos frontières, voire l’ONU ou l’OTAN.
Je suis d'accord qu'il faut garder la proximité. Pourtant la plupart des problèmes ne peuvent se traiter qu'à un certain niveau, c'est par exemple le cas des transports. Les habitants des villages périphériques sont contents de pouvoir se déplacer dans la ville centre, il n'est donc pas souhaitable que ce soit uniquement celle-ci qui s'occupe de mobilité. C'est juste un exemple. Il faut décider au bon niveau.
C'est le principe de subsidiarité selon lequel la responsabilité d'une action publique, lorsqu'elle est nécessaire, doit être allouée à la plus petite entité capable de résoudre le problème d'elle-même. Il va de pair avec le principe de suppléance, qui veut que quand les problèmes excèdent les capacités d'une petite entité, l'échelon supérieur a alors le devoir de la soutenir, dans les limites du principe de subsidiarité.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_subsidiarit%C3%A9
Les commentaires sont fermés.