Avignon OFF 2013 2
16/07/2013
Docteur Glas
Hjalmar Söderberg
Sofia Maria Efraimsson, John Paval
Metteur en scène : Hélène Darche
Si le droit d'aimer était un droit de l'homme, jusqu'où doit-on aller pour le defendre? Stockholm, 1905. Docteur Glas mène une vie aisée au sein de la bonne bourgeoisie de Stockholm, jusqu'au jour où Helga, la belle jeune femme du vieux Pasteur Gregorius, vient lui confier un secret qui changera à tout jamais leurs deux vies. Jusqu'où va-t-il aller pour l'aider?
Une histoire si émouvante et provocante qu'elle est devenue un classique de la littérature du Nord.
Une histoire si émouvante et provocante qu'elle est devenue un classique de la littérature du Nord.
L'interprétation des deux comédiens est magistrale. Un bijou ! Dit la presse. Et la presse a raison. John Paval est extraordinaire, très grand acteur. L'actrice est suèdoise, jolie et très bonne.
Un seul bémol, le Stockolm du début du XXième, quel ennui !
La nuit des reines
de Michel HEIMInterprète(s) : Gwenda GUTHWASSER, Franck ISOART, Renato NASI, Guillaume LUCAS et Michel HEIM en reine Elisabeth.
Metteur en scène : Jean-Pierre ROUVELLAT
Treize ans après sa création La Nuit des Reines revient en Avignon dans sa version originelle par Les Amis de Monsieur qui l’ont créée. Revoici donc Henri III toujours amoureux de sa sœur, la Reine Margot, et aux prises avec sa mère, Catherine de Médicis qui veut le marier à Elisabeth Ier d’Angleterre, la Reine vierge. Et revoici le Duc de Buckingham dont le charme ambigu vient pimenter l’affaire.
On se marre, on se bidonne, on rit du début à la fin. Le mélange d'alexandrins, de références et clins d'oeil multiples (on en rate sans doute beaucoup) et de coups sous la ceinture et hillarant. A rembourser par la sécu !
Un regret (et une chance), ne pas avoir encore vu, La nuit des dupes et son dernier opus L'émule du pape.
The Blues Brothers american show
Après le fabuleux film "THE BLUES BROTHERS", les Eight Killers en donnent la suite sur scène en costumes, lunettes et chapeaux noirs. Les chansons comme les gags se succèdent à un rythme effréné, passant de "Every body needs..." à Carmen. Les Eight Killers chantent, dansent, font des sauts périlleux, explosent leur guitare, se battent aux pistolets...
Rock n'roll et très... américain
Un petit regret, ne pas avoir tenté "Beethoven ce gitan" à la même heure.
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