Opération Tupeutla
07/02/2013
Le LHC du CERN n’est pas sans rappeler le Biglotron inventé par le professeur Slalom Jérémie Ménerlache. Le biglotron était une machine « qui ne servait à rien, et par conséquent pouvait servir à tout » et de ce fait devait assurer à la France (pas encore à l'Europe) la suprématie pour des décennies dans des domaines variés, allant de la physique thermonucléaire jusqu'à la pratique de la gynécologie dans l'espace.
Il fallait protéger les plans du Biglotron, ce fut la raison de Tupeutla, opèration secrète menée par le SDUC (Service de documentation unilatérale et de contre-espionnage) et son chef le Colonel de Guerlasse, qui recruta Nicolas Leroidec (vivant au 84 bis, rue du général Motors à Houilles), ancien représentant en enclumes reconverti en agent secret.
Poursuivi par les agents doubles Zorbec Legras (double donc) et Wilhelm Fermtag, Nicolas Leroidec va se rendre à Interlaken, Venise, au Caire, ou encore à Athènes.
Dans le réseau de Tupeutla, on trouve Célestine Troussecotte, secrétaire du colonel de Guerlasse. L'adjudant Tifrisse (Numéro 1 en Martinique - Marie-Rose de son prénom), les célèbres frères Raphaël et Jules Fauderche (alias B12 et B14), Gédéon Burnemauve, le révérend père Paudemurge (alias PiR2), la comtesse Vanda Vodkamilkevich (née Catherine Legrumeau), Antoinette Duglambier dite Mémaine, la compagne de Nicolas Leroidec, petite main dans l'usine de fabrication de joints de culasse Bardin, Duflac et Petit-Binet, Albert Tunouslé, Julien Bougredecombre, Emmanuel Tiercemolle, Jean Marie Coltepatte, Marcel Versten Bleuet, Napoléon Bougnaplas.
Au fur et à mesure des épisodes on croise Xénophon Salengos, tenancier de l'hôtel Krados à Athènes, Moïse Asphodèle le philosophe-photographe, ou encore Simone Aloilpé, strip-teaseuse à l'envers pour camps de nudistes... Après de nombreux épisodes l'opèration tupeutlà se finit, après de très nombreux rebondissements, par la victoire de la France et du SDUC. Mais Bon Baisers de partout rebondira.
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